BREDOUILLES ! (france24.com) |
Comme on le dit en Côte d’Ivoire : « La vérité rougit les yeux mais ne les
casse pas ». Cette petite précision technique s’impose car la présente
chronique va rougir les yeux de certains, dans un style de rédaction et une
rhétorique pure à l’ivoirienne.
Eh oui ! C’est ça. La bonne nouvelle du jour.
Le Chasseur de loups du Caucase russe a réussi à faire fuir le fou Newyorkais Hussein
Lucky Luke et son « animal de compagnie », Rantanplan François.
Mais pour quiconque connait Hussein Lucky Luke et
le fidèle des fidèles Rantanplan François, avec leur goût prononcé pour les
aventures de cowboys sanguinaires, destructeurs et pillards, la reculade
spectaculaire en Syrie est plus qu’un message.
En fait, comme les Ivoiriens le disent en riant :
« Bouche connaît os que dent peut
pas manger, c’est langue qui fait exprès ». Et ce n’est pas à
Rantanplan François que l’on va expliquer que l’os syrien est un totem pour
animaux de compagnie édentés et prétentieux comme lui.
« Os,
c’est pas os », comme dirait l’autre. Os de bœuf et os de souris ne sont pas
les mêmes. Eh oui. Ils l’apprennent à leurs dépens.
Il y a environ 10 jours, les tambours de guerre qui
crevaient nos pauvres oreilles nous on fait croire qu’ils oseraient franchir le
pas.
Voilà des « gros muscles » de pacotille,
se prenant pour les super-loubards du monde, qui annoncent à qui veut
l’entendre qu’ils vont donner une leçon au « petit syrien ». Le petit
leur répond, qu’il les attend. Il y a longtemps même qu’il les attend. Ils
peuvent venir quand ils veulent. Hier est passé. Aujourd’hui vient de passer.
Demain aussi est arrivé et il est passé. Après-demain, puis après-demain, et
puis 10 à 20 jours après, c’est la même chanson : « Toi petit syrien-là, on va te blesser… ». Le petit
répond : « Venez, j’aime qu’on
me blesse. Il y a longtemps que je cherche blessure. Venez essayer. Je suis
impatient… ». Et rien. Nos loubards effrontés remettent encore à
demain la punition promise.
Allons y comprendre quelque chose. La vérité dans tout ça, c’est que le loubard Hussein alias Lucky Luke et son « animal de compagnie » Rantanplan François se sont fait expliquer les choses de façon très claire par le Chasseur de loups du Caucase russe en ces termes : « Petit que vous voyez en Syrie-là, il est très amer. Si vous tentez une aventure orgueilleuse contre lui, vous allez prendre drap ; C’est notre bon petit. Avec ce qu’on va lui mettre à disposition, il va vous toucher au foie comme s’il n’a jamais croisé votre chemin ».
Allons y comprendre quelque chose. La vérité dans tout ça, c’est que le loubard Hussein alias Lucky Luke et son « animal de compagnie » Rantanplan François se sont fait expliquer les choses de façon très claire par le Chasseur de loups du Caucase russe en ces termes : « Petit que vous voyez en Syrie-là, il est très amer. Si vous tentez une aventure orgueilleuse contre lui, vous allez prendre drap ; C’est notre bon petit. Avec ce qu’on va lui mettre à disposition, il va vous toucher au foie comme s’il n’a jamais croisé votre chemin ».
Au début, ils ont fait la sourde oreille. Et le
Chasseur de loups de réitérer avec fermeté. « Le
bâtard qui se trompe pour jeter une seule bombe sur le "petit syrien",
il va connaître qui a mis du sel dans la mer méditerranée ».
Là, ça devenait sérieux. Alors Hussein Lucky Luke
et Rantanplan François, qui font semblant d’être de parfaits idiots de guerre,
comprennent enfin, subitement, tout à coup, soudain, brusquement, que « Ce ne sont pas toutes les eaux que la
grenouille peut nager. Tout est question de température ».
Mais un cowboy truand et son animal de compagnie à la peau dure comme un rat d’égout parisien, sont forcément deux cancres de la pègre internationale, qui ne croient qu’au pouvoir de la violence car leur survie à un moment où leur destin d’anciens riches devenus pauvres est gagné par l’incertitude, y est étroitement liée.
Mais un cowboy truand et son animal de compagnie à la peau dure comme un rat d’égout parisien, sont forcément deux cancres de la pègre internationale, qui ne croient qu’au pouvoir de la violence car leur survie à un moment où leur destin d’anciens riches devenus pauvres est gagné par l’incertitude, y est étroitement liée.
Alors, il ne faut pas baisser les bras. Mieux, il
faut désormais, dans les cercles des pouvoirs du Bloc Emergent, avoir quatre
yeux dont deux à l’avant et deux à l’arrière, car comme dirait l’autre, « Le chien ne change jamais sa façon de
s’asseoir ». Sous une forme ou une autre, les chiens de guerre du Bloc
Décadent réapparaîtront en Syrie, en Iran ou ailleurs avec des méthodes de
déconstruction nouvelles et un projet de pillage flambant neuf.
En attendant, pour la première fois, Hussein Lucky
Luke et Rantanplan François ont compris « Qu’il
y a une différence entre être téméraire et être courageux, être fort et
profiter de la faiblesse des autres, être grand et se faire passer pour un
grand ».
So let’s say : « Yes,
they cannot » !
Alors pour conclure, disons que le « petit
syrien » qu’on voulait punir avec arrogance, attend toujours. Il est « serein comme maison inachevée ».
Que celui qui se sent « garçon » pointe le premier, le bout du nez en
Syrie avec arsenal de guerre et meurtre de civils comme règles d’engagement
pour ses chiens de guerre. Celui-là va comprendre que « Quand on prend le chemin de "Je m’en fous", on finit humilié au village d’à côté, celui qui
s’appelle "Si je savais" ».
A Très
Bientôt.
Hassane Magued, La Révolution Permanente
Titre original : « Fin d’une histoire de
fous : Hussein Lucky Luke et Rantanplan François n’iront plus en Syrie ! »
EN MARAUDE DANS LE WEB
Sous cette rubrique,
nous vous proposons des documents de provenance diverses et qui ne seront pas
nécessairement à l'unisson avec notre ligne éditoriale, pourvu qu'ils soient en
rapport avec l'actualité ou l'histoire de la Côte d'Ivoire et des Ivoiriens, et
que, par leur contenu informatif, ils soient de nature à faciliter la
compréhension des causes, des mécanismes et des enjeux de la « crise ivoirienne
».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire