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| B. Nabagné Koné |
A l’honneur
aujourd’hui, le « ministre » Bruno Nabagné Koné dans l’un des
exercices favoris de ces fantoches : la fuite en avant.
La
semaine dernière, lors de la cérémonie organisée dans son ministère pour
recevoir les vœux de nouvel an de son personnel, Bruno Nabagné Koné, le
ministre de la Poste, des Technologies de l’Information et de la Communication,
a dévoilé les grands chantiers TIC de la Côte d’Ivoire pour 2014.
Tout
d’abord, l’Etat compte avancer dans le projet de gouvernance électronique. À
cet effet, la 3ème et dernière phase du projet de maillage du pays en fibre
optique sera lancée. Elle porte sur les 5000 km restants. Cela permettra une
connexion de tous les chefs-lieux de départements de Côte d’Ivoire et
l’achèvement de la couverture totale de la population ivoirienne en service de
téléphonie.
L’Etat
de Côte d’Ivoire prévoit aussi de lancer la phase opérationnelle du projet « un citoyen, un ordinateur, une connexion
internet », de porter à 3000, les1000 localités du pays qui sont déjà
connectées à Internet et de poursuivre les projets sectoriels que sont
l’e-éducation, l’e-santé, l’e-finance et l’e-agriculture.
À
ces nombreux projets s’ajoutent la restructuration du projet panafricain de
fourniture de service satellitaire (Rascom), l’amélioration continue des
services fournis par les opérateurs de téléphonie, l’opérationnalisation de
l’Autorité de régularisation des télécommunications de Côte d’Ivoire (Artci)
pour ne citer que ceux-ci.
(Agence Ecofin)
Titre
original : « En Côte-d’Ivoire, "un citoyen, un ordinateur, une connexion internet" en
projet »
Le commentaire de Zott, que La
Rédaction partage sans réserves :
« Le
sieur Bruno ne fait que raconter des bobards. Non seulement vous n’avez pas les
moyens de le faire, et qu’il est inutile de le faire, mais en plus, vous
occultez les vrais enjeux, et les vrais besoins de la population pour faire de
la diversion sur ce qui n’est ni un besoin, ni une priorité pour les Ivoiriens.
Qu’est-ce que le paysan illettré fera d’un ordinateur et d’une connexion Internet
? Encore faut-il que ces choses l’intéressent, et qu’il sache lire et sache
l’utiliser ? La jeunesse en attente a d’abord besoin d’emploi avant tout… Les
Ivoiriens ont besoin d’avoir l’essentiel. Les ordinateurs ne se mangent pas. »
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