On pourrait s’y tromper. Mêmes patronymes et, surtout,
mêmes initiales – B.C. et C.T. – que Blaise Compaoré et Charles
Taylor, les deux incendiaires manipulés par l’agent multicartes Jean
Mauricheau-Beaupré, auxquels nous devons tous les malheurs qui se sont abattus
sur la sous-région et singulièrement sur notre patrie, la Côte d’Ivoire, depuis
1990…
« Belle performance de Benjamin Compaoré ce samedi. Le Français
s'est adjugé une victoire de prestige au concours de triple saut du meeting de
New York, 3e étape de la Ligue de diamant. Il a bondi à 16,45 m, devançant rien
de moins que l'Américain Christian Taylor, champion olympique et du monde en
titre (16,42 m), perturbé par les conditions très délicates (pluie et
vent). » (www.lequipe.fr 25 mai 2013)
Rassurez-vous, il ne s’agit pas de nos deux lascars, mais de deux inoffensifs
sportifs, des champions du triple saut, qui se s’affrontaient ce jour-là, à New
York…
Vous savez, cette ville à laquelle une fameuse statue tourne le dos.
L'athlète français Benjamin Compaoré (photo afp) |
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