Honorables invités,
Leaders et Représentants des partis politiques, des
syndicats et Associations de la Société civile,
(…)
A l'origine du NPR, il y avait le COPACI, définit comme Courant de Pensée et d'Action de Côte d'Ivoire. Le COPACI après, plusieurs actions menées s'est retrouvé dans l'obligation historique de défendre la démocratie, les libertés, les droits de l'homme, les institutions de la République et la souveraineté de la Côte d'Ivoire, suite à la rébellion du 19 septembre 2002 et à la partition du pays qui s'en ait suivie. Le 9 octobre 2008, le COPACI a décidé d'opérer sa mutation en parti politique. Depuis cette date, le NPR est demeuré dans son combat pour la démocratie, les libertés, les droits de l'homme, la défense des institutions de la République et la souveraineté de la Côte d'Ivoire.
Nous avons dit : « non à des élections sans désarmement » ;
Nous avons dit : « Non à la justice sélective » ;
Nous avons dit : « Non aux violations des droits de l'homme en Côte d'Ivoire» ;
Nous avons dit : « Oui à la justice pour tous » ;
Nous avons dit : « Oui au respect de la souveraineté nationale et de la
Constitution ».
Nous avons et continuons de manifester notre attachement à la démocratie, aux libertés, à la justice, à la paix et à la prospérité de tous dans notre pays. C'est pourquoi nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques, dénonçons les incarcérations du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé à La Haye par la Cour pénale internationale.
Nous avons et continuons de manifester notre attachement à la démocratie, aux libertés, à la justice, à la paix et à la prospérité de tous dans notre pays. C'est pourquoi nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques, dénonçons les incarcérations du président Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé à La Haye par la Cour pénale internationale.
Blaise
Pascal Logbo, président du NPR,
lors de la
cérémonie de clôture du Congrès
|
Le COPACI est devenu NPR dans la perspective de
rassembler les filles et fils du pays, du sud, du nord, de l'est, de l'ouest et
du centre autour d'un idéal républicain. L'article 3 du Statut de notre parti
est suffisamment clair sur notre identité : « Le NPR est un Parti politique d’obédience socialiste et
progressiste, qui s’engage à lutter pour la démocratie, la paix, le bien être
socio-économique, l’écologie et les droits de l’homme en Côte d’Ivoire et à
l’échelle universelle. Le NPR est un parti fortement attaché à la souveraineté
nationale, à la forme républicaine de l’Etat et aux lois de la République. Le
NPR refuse de s’identifier à une race, une ethnie, un sexe, une religion, une
secte, une langue, une profession ou à une région de la Côte d’Ivoire. Le NPR
est fortement attaché à l’unité nationale ». C'est cela notre identité
politique.
Que vient faire le NPR dans l'univers politique
ivoirien déjà bondé de partis politiques ?, s'interrogent certains. Le NPR
n'est-il pas un parti de trop dans cet univers de partis politiques dans lequel
« géants, vieux, nains et jeunes » se côtoient ?
L'histoire de notre nation est marquée par trois
catégories d'hommes politiques s'étant succédé dans le temps. Notre pays a
connu les pères fondateurs des années
d'indépendance, dont le règne a duré une quarantaine d'année. A la suite des
pères fondateurs, il y a eu l'avènement des refondateurs,
annonçant par leur appellation-même la remise en cause plus ou moins radicale
de l'héritage des pères fondateurs.
Après 40 ans de gestion du pouvoir par les Fondateurs,
9 ans de gestion du pouvoir par les Refondateurs,
la Côte d'Ivoire, depuis le 11 avril 2011 connaît l'avènement des Solutionneurs. Par leur
appellation-même, les Solutionneurs
veulent dire que les Fondateurs et
les Refondateurs ont été à court de
solutions pour régler les problèmes de la Côte d'Ivoire. Ainsi, chaque parti
politique ayant eu en charge la gestion de ce pays, proclame détenir la clé du
développement de ce pays et du bien-être des ivoiriens.
Fondateurs, Refondateurs et Solutionneurs
ont eu à gouverner ce pays. Leurs œuvres témoignent plus ou moins en leur
faveur ou défaveur, mieux que le discours mielleux de la démagogie et du
mensonge politique. Le peuple de Côte d'Ivoire, dans un élan de lucidité, en
juge souverain saura où se trouve son intérêt et qui pourra agir dans ce sens,
au regard de ce qu'il a fait, de ce qu'il fait ou de ce qu'il propose.
Ivoiriens, Ivoiriennes,
Ivoiriens, Ivoiriennes,
Notre cher pays est malade. Son mal dure si longtemps, depuis des décennies, qu'il semble incurable, irrémédiable. Oui, notre pays est profondément malade, si bien que la douleur qui en émane est d'une profondeur sans pareil. Face à cette situation dramatique, voire tragique, les Ivoiriens et les Ivoiriennes se posent la question de savoir d'où viendra le médecin capable de guérir ce pays, capable de lui administrer le médicament miracle. Car depuis plusieurs décennies, des médecins se sont rendus à son chevet, sans toutefois parvenir à le guérir du mal qui le ronge. Certes le malade a senti par moment quelques soulagements, après avoir pris des calmants. Son mal n'a pas pour autant pris fin. Passé les effets soporifiques du médicament, le mal demeure, la douleur persiste. Et les Ivoiriens ne savent plus à quel saint se vouer.
Les incapacités des politiques à guérir cette nation a conduit plusieurs de nos compatriotes à désespérer de la politique. Car la Côte d'Ivoire est aussi malade de ces hommes politiques, non pas dans leur ensemble, mais d'une certaine catégorie d'hommes politiques. Ne sont-ce pas des politiques qui ont conduit cette nation à la guerre, en ne respectant pas les accords qu'ils ont eux-mêmes signés ? Ne sont-ce pas des politiques qui ont armé et encouragé des rebelles, des ivoiriens à tuer d'autres ivoiriens ? Ne sont-ce pas des politiques qui ont refusé de faire la paix en plongeant notre pays dans le chaos, noyant ainsi nos compatriotes et des populations étrangères dans le fleuve de l'arme des douleurs ineffables ? Ne sont-ce pas des politiques qui ont maladroitement surendetté notre pays pour retarder et même empêcher son développement, et le soumettre aux injonctions extérieures des institutions financières internationales ?
Ivoiriens, Ivoiriennes,
Vous qui avez désespéré de la politique, vous qui lui avez définitivement tourné le dos, votre posture est négative et destructive. Car le mal de ce pays est encore là, qui persiste ; et vouloir le bien de ce pays, ce n'est pas l'abandonner entre les mains de n'importe quel médecin, de n'importe quel aventurier. Vouloir le bien de ce pays ce n'est pas le laisser prendre n'importe quel médicament capable de précipiter sa paralysie et sa mort.
Même si votre désespoir de la politique peut être compris,
le fait de renoncer à la politique, de vous en détourner engage fortement votre
responsabilité dans le mal qui ronge notre pays. Vous devenez implicitement
complice de la situation par cette posture. Malgré tout ce qu'on peut reprocher
aux politiques et à la politique, tout citoyen ivoirien devrait continuer de
faire de la politique. C'est par là que commence le salut de notre nation. Car
tant que le bon médecin ne sera pas identifié et choisi à la lumière de ses
actes et du remède qu'il propose, le mal continuera de perdurer.
Ivoiriens, Ivoiriennes
Est-ce dans votre intérêt que le mal perdure, que la douleur se fasse de plus en plus vive ? Est-ce dans votre intérêt que vous ne puissiez pas jouir des fruits de vos travaux champêtres qui ne sont pas payés à leurs justes prix ? Est-ce dans votre intérêt que vous ne puissiez pas vous soigner à coût raisonnable ou même quand l'argent vous fait défaut ?
Ivoiriens, Ivoiriennes,
Est-ce dans votre intérêt que tous les impôts auxquels vous êtes assujettis ne puissent contribuer à construire des routes, à assurer adéquatement votre sécurité, à vous garantir un cadre de vie décent, et à assainir votre environnement ? Est-ce dans votre intérêt que ceux qui doivent assurer votre sécurité au quotidien deviennent vos bourreaux, que ceux qui doivent défendre votre cause en justice deviennent ceux qui vous condamnent et consacrent l'impunité aux coupables ? Est-ce dans votre intérêt que vos salaires soit largement en deçà du coût de la vie dans ce pays, au point où vous ne parvenez plus à nourrir convenablement vos familles, à vous soigner convenablement et à scolariser vos enfants ? Est-ce dans votre intérêt qu'après tant de sacrifices scolaires consentis pendant plusieurs années vos fils et vos filles majeurs et devenus adultes continuent de loger sous vos toits, nourris à vos mamelles ? Jeunesse de Côte d'Ivoire, est-ce dans ton intérêt que le chômage à durée indéterminée soit le débouché certains que te garantissent les études ? Le taux de chômage élevé dans notre pays constitue un véritable génocide social. La surexploitation dont sont victimes les travailleurs et les stagiaires par certains esclavagistes des temps modernes voilés sous le manteau enjolivant d'employeur est un crime contre la dignité humaine, un crime contre la société, un crime contre l'humanité. Le NPR dit NON à cet esclavagisme des temps modernes, et s'y opposera farouchement. Oui nous refusons que les travailleurs soient sous-payés, que le coût du travail soit de très loin en deçà du coût de la vie dans notre pays. Le SMIG, de salaire minimal garanti qu'il doit être, n'est en réalité que le salaire minable garanti, incapable de couvrir toutes les charges d'une famille modeste.
Face à cette triste réalité déconcertante qui augure
des lendemains de plus en plus incertains, le NPR veut une nouvelle Côte
d'Ivoire.....
La Côte d’ivoire que nous voulons est ce havre de paix qui réconcilie
tous ses fils et filles en bâtissant une nation nouvelle, fraternelle et
solidaire.
La Côte d’ivoire que nous voulons est celle qui consolide l’Etat de
droit et fait la promotion de la démocratie.
Nous connaissons les effets néfastes des coups d’Etat
en Afrique, situation qui endigue le développement de nos Etats et les
fragilise. Le NPR récuse ce mode d’accession au pouvoir qui ne permet pas à une
société moderne de se développer rationnellement et harmonieusement. Dans les
Etats modernes auxquels nous croyons appartenir, c’est le rôle du suffrage
universel d’investir les représentants élus tout à la fois de la compétence
juridique de dire le droit, et de l’autorité qui s’attache à la qualité de
mandataire du peuple. Les coups d’Etat doivent être condamnés en Côte d’Ivoire.
Il faudrait préconiser le respect de la Constitution. Tout autre mode d’accès
au pouvoir doit être proscrit. Le système démocratique actuel du pays a révélé
de nombreux dysfonctionnements ainsi que des insuffisances, qui pourraient être
dues à l’inadaptation du cadre politique et institutionnel actuel.
La multiplication des contentieux électoraux montre
bien le malaise que connaît notre pays dans la mise en place d’une véritable
démocratie. Il s’agit, pour résoudre cet épineux problème, de doter le pays de
textes fondamentaux plus opérationnels et moins conflictuels, prenant en compte
les impératifs de l’intégration régionale et la mondialisation dans le but de
renforcer les institutions et de contrôler le processus démocratique.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dans laquelle la décentralisation ne doit pas être un simple mot mais une réalité. Car il est plus question d'avoir un Etat décentralisé qui donne la possibilité aux collectivités territoriales de s’administrer librement et d’asseoir un réel développement local durable et qui permet aux régions et aux départements d’être les moteurs du développement économique et social.
Il convient surtout d’adapter l’administration à l’évolution de l’environnement politique et institutionnel, renforcer la gestion publique en vue d’améliorer la qualité des services offerts aux usagers, mettre les préoccupations des usagers au cœur de l’action administrative. Pour ce faire, il s’agit de mettre en place un Programme Ivoirien de Développement institutionnel autour de cinq volets qui sont : la réorganisation de l’Etat central et le renforcement de la gestion publique, le renforcement de la déconcentration, la consolidation de la décentralisation, la valorisation et le développement des ressources humaines de l’Etat et des collectivités territoriales, l’amélioration de la communication et des relations avec les usagers.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dans laquelle est mis l'accent sur la défense des droits élémentaires : Droit à la sécurité, Droit à l’éducation, Droit à la santé, Droit à un logement décent, Droit à l’alimentation, Droit à un cadre de vie approprié, Droit à l’information et à la communication.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dans laquelle la décentralisation ne doit pas être un simple mot mais une réalité. Car il est plus question d'avoir un Etat décentralisé qui donne la possibilité aux collectivités territoriales de s’administrer librement et d’asseoir un réel développement local durable et qui permet aux régions et aux départements d’être les moteurs du développement économique et social.
Il convient surtout d’adapter l’administration à l’évolution de l’environnement politique et institutionnel, renforcer la gestion publique en vue d’améliorer la qualité des services offerts aux usagers, mettre les préoccupations des usagers au cœur de l’action administrative. Pour ce faire, il s’agit de mettre en place un Programme Ivoirien de Développement institutionnel autour de cinq volets qui sont : la réorganisation de l’Etat central et le renforcement de la gestion publique, le renforcement de la déconcentration, la consolidation de la décentralisation, la valorisation et le développement des ressources humaines de l’Etat et des collectivités territoriales, l’amélioration de la communication et des relations avec les usagers.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dans laquelle est mis l'accent sur la défense des droits élémentaires : Droit à la sécurité, Droit à l’éducation, Droit à la santé, Droit à un logement décent, Droit à l’alimentation, Droit à un cadre de vie approprié, Droit à l’information et à la communication.
La Côte d'Ivoire que nous voulons, est une Côte d'Ivoire dont trois
axes majeurs doivent sous-tendre la stratégie de défense nationale :
⦁ Une Armée
disposant de services de renseignements efficaces maitrisant les technologies
de pointe ainsi que des équipements de guerre sophistiqués et modernes à la
hauteur des défis du temps lui permettant de disposer d’une puissance de feu
dissuasive.
⦁ Une Armée
républicaine et patriotique dont les soldats doivent être recrutés sur la base
de leur patriotisme et non selon des critères ethniques, religieux ou
politiques.
⦁ Un choix
judicieux des partenaires en matière de coopération de défense qui se fonde sur
les rapports de force entre les puissances militaires de la planète et non sur
des liens affectifs ou historiques. Cela, parce que le NPR est conscient de ce
que, quand vient l’heure de violer notre souveraineté et de nous sacrifier sur
l’hôtel de leurs intérêts égoïstes, ces puissances n’ont que faire de notre
sentimentalisme africain qui au contraire fait notre faiblesse.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dont la sécurité
intérieure garantit les libertés et les droits de l'homme.
Pour garantir la bonne sécurité des citoyens et des
populations étrangères vivant en Côte d'Ivoire, il faut :
⦁ L’identification
des populations et la maîtrise du flux migratoire ;
⦁ La localisation
des individus vivant sur l’ensemble du territoire nationale avec une adresse
exacte qui passe par la dénomination et la numérotation des voies de
circulation en Boulevards, Avenues, Rues, Allées, Impasses et Squares. Au
XXIème siècle, on ne peut pas continuer à indiquer le lieu d’habitation d’un
grand bandit ou d’un criminel par rapport à « là
où la femme baoulé vend l’alloco », entre autres ;
⦁ Une police des
polices rattachée à un vaste Ministère de la Bonne gouvernance ;
⦁ Une police
nationale disposant d’un équipement moderne devant faire l’objet d’entretien et
de renouvellement à intervalle régulier ;
⦁ Mettre en
adéquation l’effectif de ce corps en rapport avec une population donnée.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle qui donne la possibilité à tous ses habitants de se soigner dignement, qui permet à tout habitant de bénéficier d’une assistance médicale en cas de besoin par l’approfondissement de l’Assurance Médicale Individuelle (AMI) pour tous les habitants.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle qui donne la possibilité à tous ses habitants de se soigner dignement, qui permet à tout habitant de bénéficier d’une assistance médicale en cas de besoin par l’approfondissement de l’Assurance Médicale Individuelle (AMI) pour tous les habitants.
Pour parvenir à un tel résultat, il faudra faire en
sorte d’établir sur le sol ivoirien toutes les disciplines et structures
manquantes au système de santé. Mais avant tout, l’amélioration et la
modernisation des établissements sanitaires publics existants doivent être des
priorités.
La Côte
d'Ivoire que nous voulons est celle qui assure la couverture du territoire national par la
télévision et la radio, la couverture nationale de la téléphonie mobile et
d'internet, la liberté de la presse. Il est inadmissible que certaines parties
du territoire national ne soient pas pleinement et régulièrement couvertes par
la télévision et la radio nationales, alors que nos concitoyens sont soumis au
paiement de la redevance.
Aujourd’hui, l’émergence de la presse ainsi que son développement sont indissociables du processus de démocratisation. Nous considérons l’ère démocratique et du multipartisme comme celle des lumières car, la presse est désormais accessible, et l’expression est désormais libre, mais le censure existe toujours. Il faut favoriser la liberté de la presse, mécanisme qui doit engendrer l’ouverture du débat démocratique, et du débat contradictoire propices à la démocratie. Les problèmes de société, à savoir : la pauvreté, le sida, la corruption, la bonne gouvernance, la démocratie, etc… doivent être abordés avec des questionnements pertinents. Il s’agit par ce moyen de mettre les responsables politiques devant leurs responsabilités. Grâce à la presse écrite, l’information devient un bien public. Plus que tout autre média, la presse doit permettre de jeter un regard sur le pouvoir politique, en demeurant vigilante sur les abus, et doit faire dans ce cas office de système d’alarme citoyenne. Grâce aux nombreuses publications, les manquements seront dénoncés, et surtout il s’agira de faire baisser la corruption et le détournement des deniers publics. Dans cet ordre d’idée, il s’agit de mettre en place des textes juridiques qui protégeront la corporation des hommes de presse, afin que les médias fassent de façon remarquable leur travail.
Aujourd’hui, l’émergence de la presse ainsi que son développement sont indissociables du processus de démocratisation. Nous considérons l’ère démocratique et du multipartisme comme celle des lumières car, la presse est désormais accessible, et l’expression est désormais libre, mais le censure existe toujours. Il faut favoriser la liberté de la presse, mécanisme qui doit engendrer l’ouverture du débat démocratique, et du débat contradictoire propices à la démocratie. Les problèmes de société, à savoir : la pauvreté, le sida, la corruption, la bonne gouvernance, la démocratie, etc… doivent être abordés avec des questionnements pertinents. Il s’agit par ce moyen de mettre les responsables politiques devant leurs responsabilités. Grâce à la presse écrite, l’information devient un bien public. Plus que tout autre média, la presse doit permettre de jeter un regard sur le pouvoir politique, en demeurant vigilante sur les abus, et doit faire dans ce cas office de système d’alarme citoyenne. Grâce aux nombreuses publications, les manquements seront dénoncés, et surtout il s’agira de faire baisser la corruption et le détournement des deniers publics. Dans cet ordre d’idée, il s’agit de mettre en place des textes juridiques qui protégeront la corporation des hommes de presse, afin que les médias fassent de façon remarquable leur travail.
Les journaux de l’ère démocratique ne doivent pas se
contenter d’informer, mais doivent donner aux citoyens un moyen de pression
considérable sur le pouvoir politique, et contribuer à freiner la tendance
significative du pouvoir politique et des entreprises à la corruption. En Côte
d’Ivoire, la prolifération des médias depuis la libéralisation de la presse
écrite et du secteur de la radio, doit offrir de nouvelles opportunités à la
problématique de la gouvernance publique et jouer un rôle dans le processus du
développement.
La Côte d'Ivoire que nous voulons, est celle qui assure une
meilleure gestion des finances publiques et élimine les gaspillages et les
rentes de situation.
Parmi les actions les plus importantes à mener, il
faudrait opérer des actions dans le domaine de l’amélioration de la gestion des
dépenses publiques. Ce processus passe par l’interconnexion des réseaux
informatiques des administrations chargées de l’élaboration et de l’exécution
du budget de l’Etat. Aussi, faudrait-il renforcer le contrôle de l’Inspection
des Finances et la Dotation des autres structures de contrôle. Un Plan
d’Action et d’Amélioration de la Gestion des finances publiques doit être mis
en place. Il convient d’élaborer dans ce cadre, un guide des procédures
comptables ainsi qu’un modèle de prévision simulation budgétaire. La mise en
place d’une procédure d’information de la dépense publique, la formation du
personnel, ainsi que le renforcement de l’équipement au niveau central et
régional. Dans le cadre de la bonne gestion de la dette publique, il convient
de mettre en place un Comité National de Suivi et de Viabilité de la Dette
Publique. Afin de mieux gérer les affaires publiques, affaires publiques qui
doivent avoir lieu dans un climat de confiance, il convient de mettre en place
un Conseil Présidentiel pour l’Investissement, sans oublier l’adoption d’une
Politique de Développement du secteur Privé, la création d’un Cadre de
concertation Etat-Secteur Privé, ainsi que la mise en place d’un Code
d’investissement. Sans oublier en dernier ressort, la création d’une Agence
pour la Promotion des investissements, qui aura pour missions d’encourager et
de soutenir le développement des investissements directs étrangers et
nationaux, contribuer à l’amélioration du climat des affaires, planifier,
coordonner et réguler le développement des zones industrielles et des activités
économiques. Cinq défis majeurs sont à relever s’agissant de la gouvernance
économique. Il s’agit de la transparence dans la gestion des Finances
Publiques, l’harmonisation des procédures des partenaires techniques et
financiers, la coordination des aides , la mobilisation accrue de financement
intérieur, la mobilisation et l’intégration de financements extérieurs dans les
procédures nationales.
Il faut opérer une remise sur pied de l'économie nationale.
Il faut opérer une remise sur pied de l'économie nationale.
(…)
La Côte d’ivoire doit sortir de la situation de pays exportateur de produits agricoles pour se transformer en pays exportateur de produits industrialisés. Il conviendra de mettre fin au rôle asphyxiant d’exportateur de matières premières dans lequel notre pays est cantonné, sortir de la monoproduction et de la monoculture qui rendent la Côte d’ivoire dépendante de la conjoncture économique internationale, en entrainant des retards économiques, sociaux et culturels dans notre pays. La dépendance des pays du tiers-monde se situe, en premier lieu au niveau des échanges et l’exploitation de ces pays est décelée au travers de la détérioration des termes de l’échange. La baisse des prix des matières premières exportées par les pays africains en général et par la Côte d’ivoire en particulier est un des freins les plus importants à leur industrialisation et de son développement. La politique économique occidentale envers les pays africains révèle d’un rapport de domination impérialiste. Le véritable moyen pour améliorer la situation du plus grand nombre d’entre nos concitoyens est d’aider les agriculteurs à accroitre d’abord, la productivité de leurs cultures alimentaires et commerciales, et ensuite, les prix auxquels celles-ci sont payés. Tout en contribuant au renforcement du bien-être rural, la production agricole, doit suffire à assurer les besoins de subsistance de la population. Nous devons compter sur le secteur agricole afin de produire l’alimentation consommée par les populations. Il s’agira pour les paysans de produire suffisamment pour assurer leurs propres besoins et celle de la population urbaine. Ainsi, l’augmentation de leurs populations doit s’accompagner d’un accroissement de la productivité agricole, faute de quoi, les termes de l’échange vont s’inverser au détriment du secteur industriel, entrainant une baisse des profits, et au bout du compte par un arrêt de la croissance. Il faudrait en Côte d’ivoire mettre l’accent sur le développement économique avec ce que l’on nomme le phénomène de rente tripe : l’industrie manufacturière, le commerce extérieur et les matières premières que nous devons transformer. Le secteur industriel doit être puissant, et mettre l’accent sur le commerce extérieur. La Côte d’ivoire doit faire en sorte qu’elle ne soit plus un pays exportateur de matières premières, qui alimentent l’industrie des pays industrialisés, mais renforcer le processus d’industrialisation en exportant des produits industriels. Il faudrait mettre l’accent sur des activités à rendements croissants et de mécanisation continue. Le secteur manufacturier aura pour objet de résoudre trois problèmes spécifiques à notre pays : une valeur ajoutée nationale croissante (PIB), une croissance de l’emploi et la résolution de l’équilibre de la balance des paiements. Il faudrait ajouter à cela une industrie étendue et diversifiée.
La Côte d’ivoire doit sortir de la situation de pays exportateur de produits agricoles pour se transformer en pays exportateur de produits industrialisés. Il conviendra de mettre fin au rôle asphyxiant d’exportateur de matières premières dans lequel notre pays est cantonné, sortir de la monoproduction et de la monoculture qui rendent la Côte d’ivoire dépendante de la conjoncture économique internationale, en entrainant des retards économiques, sociaux et culturels dans notre pays. La dépendance des pays du tiers-monde se situe, en premier lieu au niveau des échanges et l’exploitation de ces pays est décelée au travers de la détérioration des termes de l’échange. La baisse des prix des matières premières exportées par les pays africains en général et par la Côte d’ivoire en particulier est un des freins les plus importants à leur industrialisation et de son développement. La politique économique occidentale envers les pays africains révèle d’un rapport de domination impérialiste. Le véritable moyen pour améliorer la situation du plus grand nombre d’entre nos concitoyens est d’aider les agriculteurs à accroitre d’abord, la productivité de leurs cultures alimentaires et commerciales, et ensuite, les prix auxquels celles-ci sont payés. Tout en contribuant au renforcement du bien-être rural, la production agricole, doit suffire à assurer les besoins de subsistance de la population. Nous devons compter sur le secteur agricole afin de produire l’alimentation consommée par les populations. Il s’agira pour les paysans de produire suffisamment pour assurer leurs propres besoins et celle de la population urbaine. Ainsi, l’augmentation de leurs populations doit s’accompagner d’un accroissement de la productivité agricole, faute de quoi, les termes de l’échange vont s’inverser au détriment du secteur industriel, entrainant une baisse des profits, et au bout du compte par un arrêt de la croissance. Il faudrait en Côte d’ivoire mettre l’accent sur le développement économique avec ce que l’on nomme le phénomène de rente tripe : l’industrie manufacturière, le commerce extérieur et les matières premières que nous devons transformer. Le secteur industriel doit être puissant, et mettre l’accent sur le commerce extérieur. La Côte d’ivoire doit faire en sorte qu’elle ne soit plus un pays exportateur de matières premières, qui alimentent l’industrie des pays industrialisés, mais renforcer le processus d’industrialisation en exportant des produits industriels. Il faudrait mettre l’accent sur des activités à rendements croissants et de mécanisation continue. Le secteur manufacturier aura pour objet de résoudre trois problèmes spécifiques à notre pays : une valeur ajoutée nationale croissante (PIB), une croissance de l’emploi et la résolution de l’équilibre de la balance des paiements. Il faudrait ajouter à cela une industrie étendue et diversifiée.
La transformation des matières premières en produits
finis augmenterait automatiquement la richesse des villes, et permettrait de
lutter contre l’étendue du sous-emploi, du chômage et du vagabondage, chose
pour laquelle le NPR entend agir, ce, au profit des populations rurales qui
constituent le gros lot de la population, populations qui, paradoxalement, ont
participé à la croissance du pays, mais sont demeurées le parent-pauvre de
cette prospérité.
Il faut maîtriser les dépenses publiques...
Face à l’échec successif des politiques mises en place
dans les pays du tiers-monde en général et en Côte d’ivoire en particulier, des
thérapies ont été mises en place afin de venir au secours d’économies malades,
comme ce fut le cas avec la Côte d’ivoire. Les thérapies mises en œuvre ont été
diverses et variées, mais axées sur des Plans d’ajustement structurels, et les
politiques dites Initiative Pays Pauvres Très Endettés (PPTE). Les plans
d’ajustements structurels ont pour objectifs de conduire les Etats à mieux
appréhender les contradictions de leur législation et de procéder à la
déréglementation de l’ensemble des textes en vigueur régissant les secteurs
d’activités. Il s’agit ici de relever les incohérences organisationnelles, les
chevauchements ou l’émiettement des attributions dans l’organisation
gouvernementale, en vue d’élaborer une structure mieux adaptée et de favoriser
un meilleur fonctionnement des services publics, en cherchant à accroitre leur
rendement. Il s’agit ici de mettre en place un plan d’organisation et des
effectifs propre à identifier et à codifier des postes de travail par
qualification professionnelle, et par structure spécialisée , et à dégager les
effectifs jugés pléthoriques, pour les redistribuer à d’autres départements qui
en manqueraient. La finalité des plans d’organisation et des effectifs, est la
maitrise de la masse salariale de la fonction publique, mais le redéploiement
du personnel ainsi dégagé dans d’autres secteurs d’activités, dont la création
peut être encouragée dans un secteur privé à promouvoir. Il s’agit de dresser
des plans sectoriels qui auront pour but d’améliorer les performances à hauteur
des attentes des usagers, aussi bien au niveau de l’éducation, de la santé, des
transports, que de biens d’autres secteurs. Il s’agit d’établir des règles de
procédure et de gestion rationnelle ou rationalisée des ressources économiques
et financières , afin de prévenir le gaspillage ou l’abus des biens sociaux et
d’assurer le respect des normes standard dans les délais cadrant avec
l’exigence de rendement. Malgré ses nombreuses potentialités humaines et ses
ressources naturelles importantes, la Côte d'Ivoire a réussi à se faire classer
pays pauvres très endetté. Son approvisionnement et son endettement sont
imputables à la mauvaise gestion des ressources et financières dont il regorge,
à la corruption de certains de ses dirigeants et au détournement massif des
deniers publics par les fonctionnaires et les ministres. Toutes ces situations
malheureuses ont été aggravées par la dévaluation du franc CFA, qui a entrainé
le déboulement du poids de la dette extérieure, ainsi que de la valeur
marchande des importations, tandis que celle des exportations diminuait de
moitié. Cette opération monétaire déséquilibrait d’autant les données de la
balance commerciale et de celle des paiements, entrainant du coup
l’impossibilité de rembourser sa dette à bonne échéance. La chose la plus
importante à préciser est la reconversion des créances en subventions. Pour pouvoir
bénéficier de cette manne, le PPTE doit pouvoir s’engager à honorer sur toute
la période considérée, du point d’initiative au point d’achèvement, mais
également à appliquer et à respecter toutes les conditions qui lui seront
dictées pour la circonstance par le FMI et la Banque Mondiale. Cela va de la
privatisation de toutes les entreprises indexées, à la maitrise des effectifs
et de la masse salariale du secteur public, à l’appel systématique de la
concurrence, du contrôle de la qualité des dépenses publiques de fonctionnement
ou d’investissement. Il faudrait en dehors de cette impérieuse exigence de
développement maitriser les effets de la mondialisation sur l’économie de la
Côte d’ivoire.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle qui crée plus d’emplois
par l’amélioration de la compétitivité des entreprises du secteur privé.
Des mesures pour préserver et améliorer la
compétitivité des entreprises du privé sont à mettre en œuvre pour permettre la
création d’emploi en vue de résorber le chômage surtout des jeunes. Il s’agira
d'établir un contrat de confiance qui liera l’Etat à toute entreprise qui
embauchera des jeunes au chômage. Au prorata de ces embauches, qui reste à
définir, une réduction fiscale leur sera accordée.
Il y a nécessité de développer des formations
professionnelles qualifiantes pour adultes. Il faut développer l’emploi et la
qualification des adultes au chômage. L’accent devra être mis sur la formation
professionnelle en adéquation avec les besoins du marché du travail. Ces
formations doivent cadrer avec les réalités de la demande en mains d’œuvre au
niveau national. Il faudra initier des formations de courte durée en
fonction des besoins d’embauches du moment et futures que les entreprises
souhaiteront effectuer.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle qui fait la promotion de l’entrepreneuriat
des jeunes. Pour résorber le chômage endémique des jeunes, le NPR propose
de mettre en place une stratégie pour promouvoir entrepreneuriat au sein de la
jeunesse en ciblant les entreprises à créer en relation avec les différentes
zones géographiques du pays. Les jeunes pourront ainsi se reporter sur ce
listing pour s’orienter vers les secteurs d’activité à haute valeur ajouté,
afin d’être formés et financés par une structure appropriée.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dont l'industrialisation
est effective.
Il y a nécessité de lancer un vaste programme d'industrialisation du pays. « Produire et consommer ivoirien » voici le leitmotiv de l’industrialisation de la Côte d’Ivoire.
Nous faut engager une politique industrielle du territoire à travers les stratégies de filières dans les secteurs stratégiques par le lancement de plans industriel pour donner une plus-value à nos productions.
Il y a nécessité de lancer un vaste programme d'industrialisation du pays. « Produire et consommer ivoirien » voici le leitmotiv de l’industrialisation de la Côte d’Ivoire.
Nous faut engager une politique industrielle du territoire à travers les stratégies de filières dans les secteurs stratégiques par le lancement de plans industriel pour donner une plus-value à nos productions.
Toute signature de gros contrat devra se faire avec
des conditionnalités dont celle du transfert de technologie en rapport avec nos
besoins.
Pour une meilleure relation entre la recherche, la
formation, la production et l'emploi, il nous faut créer un Pôle de
compétitivité et de coopération de recherche technologique et industrielle
ayant pour objectifs de servir de cadre d’échanges entre le public et le privé,
et de soutenir les investissements des entreprises sur la base de règles
strictes.
La Côte
d'Ivoire que nous voulons est celle qui occupe la jeunesse et développe le sport.
Le NPR propose aux ivoiriennes et ivoiriens la Construction d’une bibliothèque nationale digne de ce nom. En outre, il faudra inciter les municipalités à créer des bibliothèques dans leur commune avec des inscriptions allant de la gratuité à de modique somme d’argent, à promouvoir la lecture principalement dans les écoles par des visites gratuites dans les bibliothèques.
Le NPR propose aux ivoiriennes et ivoiriens la Construction d’une bibliothèque nationale digne de ce nom. En outre, il faudra inciter les municipalités à créer des bibliothèques dans leur commune avec des inscriptions allant de la gratuité à de modique somme d’argent, à promouvoir la lecture principalement dans les écoles par des visites gratuites dans les bibliothèques.
Il s’agira de construire des structures de formation
alliant école et sport dans les grandes régions du pays.
Pour y parvenir un Plan national pour la
(re)contruction et la rénovation des infrastructures sportifs devra être mis en
place.
La Côte que nous voulons est celle qui fait la promotion de
la femme et de l'enfant. Nous voulons d'une Côte d'Ivoire qui récuse toute
soumission aveugle de la femme au pouvoir autoritaire de l’homme et qui
garantit à l’homme et à la femme l’égal accès aux emplois publics.
L'Etat doit assurer à l’enfant la protection contre
l’exploitation et les brimades de toute sorte, lui garantir une véritable
éducation jusqu’à l’âge adulte et lui assurer un minimum vital.
Il convient d’adopter dans la même veine un code de
protection de l’Enfance inspiré des dispositions de la convention
internationale en la matière. Dans le cadre du droit et de l’accès à la
justice, la Côte d’ivoire doit faire un effort d’harmonisation de ses textes
avec les conventions internationales. Sur ce plan, la relecture des textes
pénaux par le Ministère de la Justice et leur réaménagement s’imposent. Cela permettra
de prendre en compte de façon spécifique la lutte contre les trafics d’enfants,
les abus sexuels et les autres formes de sévices. Il est nécessaire de mettre
en place un Code des Personnes et de la Famille, en faisant en sorte que les
textes pénaux déjà en vigueur intègrent l’arsenal juridique ivoirien dans le
cadre de la transposition dans le droit national de la Convention pour les
Droits des Femmes et des Enfants.
La Côte d'Ivoire que nous voulons est celle dont la justice est
forte, efficace, indépendante et irréprochable. De jour en jour, la Côte
d’ivoire a mal de sa justice. Au quotidien les Droits de l’homme sont gravement
bafoués et violés par les tenants du pouvoir qui promettaient Monts et
merveilles aux ivoiriens. En effet, l’amélioration, la qualité et la rapidité
du traitement des contentieux, le traitement humain des prisonniers, la
formation de magistrats compétents, l’élimination de la corruption pour une
justice indépendante, impartiale et efficace a été un leurre.
Aujourd’hui, la Justice qui devait jouer son rôle de
troisième pouvoir est stigmatisée, mise à la « botte » du pouvoir
exécutif. Son efficacité est devenue criarde.
C’est pour corriger cette promesse non tenue par certains politiques que le NPR s’engage à moderniser effectivement ce pilier de notre jeune Nation afin qu’elle puisse convenablement jouer son rôle qui lui est dédié pour redonner confiance aux citoyens et aux investisseurs nationaux et internationaux.
C’est pour corriger cette promesse non tenue par certains politiques que le NPR s’engage à moderniser effectivement ce pilier de notre jeune Nation afin qu’elle puisse convenablement jouer son rôle qui lui est dédié pour redonner confiance aux citoyens et aux investisseurs nationaux et internationaux.
Ivoiriens, Ivoiriennes,
Sans être exhaustif, telle se présente grosso modo la Côte d'Ivoire que nous voulons. Loin de l'utopie, la Côte d'Ivoire que nous voulons est réalisable. C'est pourquoi nous vous appelons solennellement à rejoindre le NPR, afin qu'ensemble, rassemblé autour de l'idéal républicain, nous puissions solidairement bâtir une Côte d'Ivoire plus juste, plus démocratique, libre, développée, prospère, pour le bien-être de tous.
Je vous remercie.
Blaise Pascal Logbo, président du NPR (Abidjan le 19 avril 2014)
EN MARAUDE DANS LE WEB
Sous cette rubrique, nous vous proposons
des documents de provenance diverses et qui ne seront pas nécessairement à
l'unisson avec notre ligne éditoriale, pourvu qu'ils soient en rapport avec
l'actualité ou l'histoire de la Côte d'Ivoire et des Ivoiriens, et que, par
leur contenu informatif, ils soient de nature à faciliter la compréhension des
causes, des mécanismes et des enjeux de la « crise ivoirienne ».
Source : CIVOX. NET 21
Avril 2014
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