Dans les années 95, lorsque nous avons fini d’organiser le
congrès constitutif du RDR (Rassemblement des républicains), pendant que le « bravetchè »
Alassane Dramane Ouattara était planqué à Washington DC, mes camarades et moi
avons convenu qu’il était temps de songer à l’élection d’un président pour les
jeunes de notre parti. Je n’ai pas eu mandat pour le faire mais j’ai pris sur
moi d’en parler à notre président, Alassane Dramane Ouattara. Bien entendu, il
était absent. Quelques noms de jeunes qui m’avaient été soufflés me trottaient
dans la tête. J’ai alors décidé d’en parler à Dominique Folloroux pour qu’elle
lui transmette notre souci. Parmi ces noms, il y avait celui de Soro Guillaume
que je ne connaissais pas. La réponse de Dominique était nette ; presque
cinglante : « Celui-là, n’y touchez pas ». Il y avait là comme un
deal caché que j’étais en train de piétiner sans m’en rendre compte. C’est
alors que Dominique Folloroux me sort une lettre de Soro de son coffret à
bijoux. Incroyable mais vrai ! Soro Guillaume, dans l’euphorie et la
précipitation de son engagement sur sa vie pour Dominique, avait secrètement
espéré devenir l’exécuteur testamentaire ou le légataire universel du futur président
de la République Alassane Dramane Ouattara. Mais Soro était trop tendre pour se
rendre compte ce jour-là que « ce n’est pas en s’agenouillant qu’on attire
la foi ». La suite, on la connaît. Le pauvre petit Rastignac a dû
s’apercevoir assez rapidement qu’il n’était pas seul à s’aplatir devant la
Blanche Colombe.
LA
RENCONTRE
Voici donc un homme qui ne m’a jamais été présenté. De ma
vie entière, je ne lui ai serré la main qu’une seule fois dans le grand salon
de la résidence officielle du chef de l’Etat Laurent Gbagbo à Cocody Blokoss.
J’ai hésité avant de poser cet acte de politesse obligée, comme si la présence
du président de la République m’y avait contraint sur l’instant. J’espère que
Soro Guillaume n’est pas devenu amnésique et subitement oublieux de cette
rencontre. Si le pouvoir ne l’a pas rendu fou ou boursouflé d’orgueil, je suis
sûr qu’il se souvient de cette journée, parce que j’avais assorti ma poignée de
main d’une phrase que j’espérais significative pour peu qu’il cherche à la
comprendre : « Le soleil brille maintenant pour tout le monde Mr le
Premier ministre ». Voilà pour notre seule et dernière rencontre physique.
Je crois que mon attitude a dû blesser son incommensurable vanité.
L’OPPORTUNISTE
ET LE TRAITRE
Dans sa recherche, sa conquête et sa gestion du pouvoir, la
seule véritable erreur politique que le président Laurent Gbagbo a commise a
été d’avoir de manière aveugle donné la totalité de sa confiance à Soro
Kigbafori Guillaume. L’affaire Soro était un sujet tabou au palais de la présidence
de la République comme à la résidence officielle du chef de l’Etat. A cette
époque-là, personne, même pas Simone, n’osait en parler. Ce qu’on apprenait par
quelques rares sachants, c’est que l’amitié ou plutôt l’affection de Laurent
Gbagbo pour ce garçon atteint de nanisme thyroïdien vient de loin. C’est tout.
On n’en savait pas plus. Tout le reste n’est que spéculations, supputations,
affabulations, suppositions à l’avantage ou au détriment de l’intéressé. Gbagbo
seul sait d’où viennent leurs relations et pourquoi il s’est livré pieds et
poings liés sans réserve à cet Escobar dont le sport favori est la Trahison.
A la FESCI, où il a dû servir Laurent Gbagbo contre Félix
Houphouët-Boigny, il a trahi ses camarades de combat sans que personne autour
de lui ne se pose la moindre question.
Dans la rébellion façon 18-19 Septembre 2002, il a trahi son mentor IB qui l’a fait venir d’Allemagne pour lui confier l’organisation de leur mouvement parce qu’il était syndicaliste et parce que tous les leaders intellectuels tapis dans l’ombre et les gradés de l’armée (Dr Moriféré Bamba, le général Lansana Palenfo, le général Abdoulaye Coulibaly) se sont fait porter pâles. Soro a donc été contraint par son tuteur IB de prendre le secrétariat général du MPCI. Il n’y avait personne et IB avait lucidement marqué ses propres limites. Il était soldat et voulait le rester. Là déjà, Gbagbo est trahi par l’intransigeance de Soro aux négociations menées à Lomé, au Togo, par Laurent Dona-Fologo au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire ; puis à Linas Marcoussis, où il n’était pas seul à trahir de nouveau le pays pour servir les intérêts de la France de Chirac et du conglomérat composé d’Alassane Dramane Ouattara, Seydou Elimane Diarra, Henry Konan Bédié, Blaise Compaoré, Abdoulaye Wade, Pascal Affi N’Guessan, Kofi Annan, Olusegun Obasanjo, Edem Kodjo et Tutti Quantti .
Dans la rébellion façon 18-19 Septembre 2002, il a trahi son mentor IB qui l’a fait venir d’Allemagne pour lui confier l’organisation de leur mouvement parce qu’il était syndicaliste et parce que tous les leaders intellectuels tapis dans l’ombre et les gradés de l’armée (Dr Moriféré Bamba, le général Lansana Palenfo, le général Abdoulaye Coulibaly) se sont fait porter pâles. Soro a donc été contraint par son tuteur IB de prendre le secrétariat général du MPCI. Il n’y avait personne et IB avait lucidement marqué ses propres limites. Il était soldat et voulait le rester. Là déjà, Gbagbo est trahi par l’intransigeance de Soro aux négociations menées à Lomé, au Togo, par Laurent Dona-Fologo au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire ; puis à Linas Marcoussis, où il n’était pas seul à trahir de nouveau le pays pour servir les intérêts de la France de Chirac et du conglomérat composé d’Alassane Dramane Ouattara, Seydou Elimane Diarra, Henry Konan Bédié, Blaise Compaoré, Abdoulaye Wade, Pascal Affi N’Guessan, Kofi Annan, Olusegun Obasanjo, Edem Kodjo et Tutti Quantti .
Quand Laurent Gbagbo décide de le nommer Premier ministre de
la République après les accords de Ouagadougou, Soro n’hésite pas à trahir
Alassane Dramane Ouattara en sautant à pieds joints dans le fauteuil de Seydou
Elimane Diarra sans état d’âme. Peut-on dissocier la nature de l’être ?
En 2010 arrivent les élections. Soro Guillaume qui disait
urbi et orbi les avoir organisées, n’attendait qu’une seule chose pour choisir
son camp : lequel des 2 candidats allait le garder à la Primature ? Soro savait
de science certaine que Laurent Gbagbo avait gagné ces élections-là.
Connaissant le caractère fondamentalement versatile, opportuniste et cupide de
notre « Talleyrand tropical », quelle faute avons-nous pu commettre
alors pour mériter qu’il trahisse encore Laurent Gbagbo pour soutenir l’hôtel
du Golf. Certains pensent que quand la girouette tourne, c’est toujours la
faute au vent. Allez demander à Soro Guillaume, le traître, quel vent soufflait
entre les 2 tours des élections en 2010.
Soro avait cru au début de son aventure comme les sages de
nos savanes du Nord que l’important, ce n’est pas d’être roi, c’est de faire le
royaume. Mais l’appétit vient en mangeant et, de surcroît, si le Chef est nul
et incapable comme Alassane Dramane Ouattara, ça donne des démangeaisons aux
traîtres et aux ambitieux. Qui a dit déjà que le monde appartient à ceux qui
osent ? Mais Soro, attention !, le peuple de Côte d’Ivoire veille. Demain
sera dur pour vous.
Face aux Bakayoko et à la camarilla Malinké de l’exécutif et de l’armée, Soro s’apprête encore à trahir Alassane Dramane Ouattara qui n’arrête pas de faire le vide autour du président de l’Assemblée nationale un peu trop pressé d’occuper son fauteuil et pas que. Tout le monde sait que Ouattara est malade et que son pronostic vital est engagé. Soro est le président de l’Assemblée nationale, c’est-à-dire le successeur constitutionnel du président de la République, l’héritier putatif. Mais si Dieu rappelle à lui Alassane Dramane Ouattara aujourd’hui même, l’ambitieux président de l’Assemblée nationale sait que la licéité de sa prise de pouvoir sera immédiatement remise en cause par les forces vives de la nation Ivoirienne.
Face aux Bakayoko et à la camarilla Malinké de l’exécutif et de l’armée, Soro s’apprête encore à trahir Alassane Dramane Ouattara qui n’arrête pas de faire le vide autour du président de l’Assemblée nationale un peu trop pressé d’occuper son fauteuil et pas que. Tout le monde sait que Ouattara est malade et que son pronostic vital est engagé. Soro est le président de l’Assemblée nationale, c’est-à-dire le successeur constitutionnel du président de la République, l’héritier putatif. Mais si Dieu rappelle à lui Alassane Dramane Ouattara aujourd’hui même, l’ambitieux président de l’Assemblée nationale sait que la licéité de sa prise de pouvoir sera immédiatement remise en cause par les forces vives de la nation Ivoirienne.
LE
MEGALOMANE IVRE D’ORGUEIL
Avant de se lancer dans cette aventure de la Rébellion, Soro
n’était rien ; Soro n’avait rien ; et Laurent Dona-Fologo, qui a le
don de simplifier les choses, disait de lui que son unique pantalon blue jean
laissait apparaître ses dessous, tellement il était usé, et ce n’était pas par
un effet de mode. Ainsi donc, Soro n’a pas eu beaucoup de mal à s’en aller à sa
guerre en brûlant les vaisseaux qu’il n’avait pas ; en larguant sa
famille, son village, son pays, sa nation pour servir les noirs desseins d’une
sirène blanche mais vénéneuse, sous le prétexte de lutter pour installer son
usurpateur de mari Alassane Dramane Ouattara au pouvoir. En même temps,
l’impertinent petit traître, s’aidait d’un escabeau pour regarder par-dessus
les épaules d’Alassane Dramane Ouattara exactement comme il l’a fait pour
Laurent Gbagbo. Si vous voulez réellement mesurer les envies mégalomaniaques de
ce nabot, lisez attentivement cette petite histoire urbaine : Pierre Fakhoury
était, on le sait, une pièce maîtresse de la galaxie Gbagbo. Mais qualité ou
défaut, il était aussi un égocentrique. Aujourd’hui, on l’aurait appelé « homme
de consensus », pour être politiquement correct et même si pour cela il
devait trahir son Mentor. Bien entendu, dans l’unique but de protéger son
entreprise et ses intérêts personnels. Il y avait aussi chez l’homme une
coquetterie qui n’était pleinement assouvie qu’uniquement quand tout le monde,
les fantômes, les elfes, les djinns, Dieu et le diable ont proclamé sans
réserve qu’il est le meilleur, le plus fort, le plus beau, etc. Ce qui à
certains égards n’était pas forcement faux. Ainsi donc un jour, après avoir vu
en catimini Henri Konan Bédié et Alassane Ouattara pour la même raison, il se
rend chez Soro Guillaume avec « les perspectives et la maquette » du
projet du palais présidentiel de Yamoussoukro, pour avoir aussi son avis. Voilà
un homme qui a décidé de ne pas insulter l’avenir. Sans même prêter au projet
une grande attention, Soro Guillaume dit à l’architecte : « Tu sais,
Pierre, que je ne peux pas m’opposer à la réalisation de ce palais puisque je
suis convaincu que c’est pour moi que tu le fais ». Soro n’était pas
encore Premier ministre. Ceci pouvant expliquer cela, on comprend aisément
aujourd’hui que le président sortant Alassane Dramane Ouattara et son égérie
malfaisante, aient mis fin à tous les chantiers de PFO (Pierre Fakhoury
Operator) dès qu’ils ont fait main basse sur la Côte d’ivoire, sans la moindre
explication au peuple.
LES
LEÇONS DE LA DIPLOMATIE PARLEMENTAIRE
Soro a eu ce pays grâce à la force des baïonnettes
françaises. Alors il s’est pris pour un grand chef de guerre. Cela ne lui a pas
suffi. Il se prend maintenant pour un grand intellectuel sorti à moitié de
l’université d’Anono. Qu’à cela ne tienne, cela fait de lui un grand
parlementaire qui va donner des leçons aux autres pays africains dont le taux
de croissance est inférieur à celui du département de Ferkessédougou. Soro
Guillaume, gentleman farmer s’est levé un matin en croyant à son rêve de la
veille. Moi Soro, je vais dire aux Camerounais, les amis de Laurent Gbagbo, ce
qu’est la démocratie. En somme, l’élève va enseigner au maître la leçon de
choses. Maintenant, dans la logique kigbaforiste, c’est la queue qui remue le
chien. Soro n’a même pas la moindre idée de ce qu’est le Cameroun en Afrique.
Ce garçon possède un culot stressant et une absence totale de respect pour son
propre pays, a fortiori pour les autres. Mais les Camerounais, qui ne manquent
pas d’humour, ont rempli ses cantines de livres sur l’histoire et la géographie
de leur pays : a connait pas, a démandé !
Par exemple, le multipartisme existait en Côte d’Ivoire
avant 1960 et ce n’était pas une stratification factice de la société ou même
une autonomie de façade de chaque groupement politique. Même avec son
intelligence exceptionnelle et son énorme fortune, Félix Houphouët-Boigny a eu
du mal à les absorber dans le PDCI-RDA triomphant. Mais ça, Soro Guillaume ne
pouvait pas le savoir parce que même son père n’était probablement pas né.
C’est au Cameroun que son angélisme politique et son manque de maturité se
manifestent lorsqu’au moment de prendre la parole devant les honorables
députés, il a vu la salle se vider d’une bonne partie de ses parlementaires au
motif qu’il ne pouvait accepter d’écouter un rebelle. C’est alors et alors
seulement que Soro Guillaume reconnaît à haute et intelligible voix que la démocratie
existe au Cameroun, pendant que sa propre représentation nationale est
infantilisée et constamment soumise à des votes impératifs de lois insensées.
Sa soi-disant diplomatie parlementaire a connu ce jour-là ses limites.
LA
DIPLOMATIE DIVINE
Vox Populi, Vox Dei, la voix du peuple c’est la voix de
Dieu. Pas celle de l’Assemblée nationale de Côte d’ivoire. Cette Assemblée nationale
est composée d’un ramassis d’analphabètes, de tueurs, de rebelles ou de leurs
représentants sans personnalité et sans pouvoir. Ce qui les conduits à
quémander auprès de leur chef-suprême-demiurge, Alassane Dramane Ouattara, les
miettes qui tombent de sa table en lui adressant des compliments dithyrambiques
et ridicules. Amadou Soumahoro dit Souroukou, secrétaire général par intérim du
RDR, dans son nouveau rôle de chef des thuriféraires, va jusqu’à affirmer sans
honte et sans retenue qu’« après Dieu c’est Alassane Dramane Ouattara »,
en oubliant le prophète Mahomet lui-même au passage. Ces gens ne sont pas à un
blasphème près. De surcroît, ce n’est pas nouveau et ce n’est pas original. On
a entendu des sottises mieux dites en 1965 par des gens évidemment plus
intelligents que Amadou Soumahoro Souroukou. Le vieux Alloh Jérôme Batafoe
avait dit de Félix Houphouët-Boigny la même chose du haut de la tribune de
l’Assemblée Nationale avec sa voix de stentor inimitable.[1] Et
en plus, on pouvait trouver mieux. Par exemple : « Savez-vous la
différence entre Dieu et Alassane Ouattara ? Dieu, lui, ne se prend pas pour
Alassane Dramane Ouattara ». Mr Amadou Soumahoro Souroukou, retournez à
l’école, ou laissez Dieu tranquille.
LA
DANSE MACABRE DE SORO GUILLAUME
Pourquoi te donnes-tu la peine d’écrire un article sur Soro
Guillaume ? Parce que personne n’a insulté l’intelligence du peuple de Côte
d’Ivoire autant que Soro Guillaume. Il n’a raté aucune occasion de faire du mal
à ses propres frères et sœurs. Plus que la guerre, il a installé dans ce pays
paisible l’esprit de la guerre. La Côte d’Ivoire a été attaquée, humiliée,
rabaissée par les œuvres de Soro Guillaume. Une vie humaine ne vaut plus rien
dans ce pays. Soro et son association de malfaiteurs – Alassane Dramane
Ouattara, Sarkozy, dont le guide Kadhafi disait qu’il est victime d’un désordre
mental, et autres Dominique Folloroux – ont ordonné et organisé des crimes de
sang quand ils ne les ont pas exécutés eux-mêmes de leurs propres mains. Ainsi
Soro Guillaume s’est vanté publiquement d’avoir tué son bienfaiteur et mentor
de la rébellion Ibrahima Coulibaly dit major IB, après avoir fait exécuter
sommairement à Bouaké le père et la mère de ce dernier. Des milliers de
familles innocentes sont inconsolables aujourd’hui pour avoir tout perdu dans
la guerre de Soro. Pour atteindre son objectif principal, installer Alassane
Dramane Ouattara au pouvoir, Soro, avec l’appui de la France, nous a brouillés
avec toute l’Afrique de l’Ouest. Ceux qui finançaient l’ignoble opération n’ont
pas lésiné sur les moyens. Un livre a même été édité après avoir été écrit pour
Soro par le correspondant permanent et indéboulonnable de RFI à Bamako, Mr
Serges Daniel. Évidemment le présumé auteur et le nègre de cet ouvrage
séditieux et prétentieux se sont empressés de le passer au « pilon »
dès que l’opportuniste Soro est devenu Premier ministre du gouvernement de
Laurent Gbagbo. Si vous en trouvez un exemplaire, envoyez-le, s’il vous plaît,
à la bien aimable Mme Fatou Bensouda, procureure de la CPI, pour qu’elle ne se
donne plus la peine d’ouvrir une enquête sur les crimes imprescriptibles de
Soro Guillaume. Je suis désolé d’être aussi direct, mais je dois vous dire que
Soro Guillaume est un « pur produit de l’enfer ». Il débarque un
jour, plutôt une nuit avec des kalachnikovs et des RPG7, il tue tout le monde
sur son passage au son imaginaire de la « danse macabre de Saint Saens »,
et parachève son travail en prenant la moitié du pays par la force. Ensuite
après des micmacs avec Sarkozy, il installe l’usurpateur Alassane Dramane
Ouattara sur nos têtes et prétend devenir président de la République lui-même
par la force de la Constitution que son maître et lui méprisent. Mais avec
cette Constitution Soro a une porte : tout le monde sait qu’Alassane Dramane
Ouattara est malade et que son pronostic vital est engagé. C’est pourquoi Soro
Guillaume se rêve président de la République de Côte d’Ivoire. Ayaa Woooooo !!!
Dieu tout-puissant, tu es là… Soro est vaincu !
FIN DE
L’HISTOIRE POUR L’INSTANT.
J’attends la réponse de sa légion étrangère de conseillers
spéciaux Dr Nyamsi, Serges Daniel RFI-Bamako, Jean Hubert Namkam cinéaste,
parce que ceci n’est qu’un début.
Mamadou Ben Soumahoro
Titre original :
« Soro
Guillaume, le soleil et le président ».
EN MARAUDE DANS LE WEB
Sous cette rubrique,
nous vous proposons des documents de provenance diverses et qui ne seront pas
nécessairement à l'unisson avec notre ligne éditoriale, pourvu qu'ils soient en
rapport avec l'actualité ou l'histoire de la Côte d'Ivoire et des Ivoiriens, ou
que, par leur contenu informatif, ils soient de nature à faciliter la
compréhension des causes, des mécanismes et des enjeux de la « crise ivoirienne
».
Source : connectionivoirienne.net 2 août 2015
[1] - Voici la formule exacte de Jérôme
Alloh : « Eh bien ! Faites donc, puisque après Dieu, c'est lui ! » C'était lors d’une séance de l'Assemblée constituante, pendant l'examen
des articles fixant les prérogatives et les pouvoirs du président de la
République que F. Houphouët s'apprêtait à devenir. Jérôme Alloh
estimait qu'on lui donnait trop de pouvoirs, mais il était bien le seul à avoir
le courage de le dire, il tint à le dire jusqu’au bout, même après qu’il eut
compris que non seulement il ne pourrait pas endiguer cette dérive monarchique,
mais qu’il lui faudrait même accepter de joindre sa voix à toutes celles d’une Constituante
« unanime ». D’où ce cri du cœur d’une insigne noblesse qu’à l’époque
déjà une certaine presse, surtout en France, tenta sournoisement de retourner
en faveur d’Houphouët, alors qu’il veut dire exactement le contraire. C’est une
précision que nous avons cru devoir à la mémoire de Jérôme Alloh, l’une des
nombreuses victimes ivoiriennes du néo-colonialisme français agissant sous le
masque de Félix Houphouët (Note de La Rédaction).
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