Amis lecteurs,
« La révolution soroïste est-elle un crime de
lèse-majesté en Côte d'Ivoire ? », s’interrogeait voilà deux ou trois
jours l’inévitable Franklin Nyamsi, le porte-plume de Guillaume Soro, qui, ces
derniers temps, multiplie avec son maître les happenings médiatiques dans l’intention très évidente de détourner
l’attention des Ivoiriens des problèmes cruciaux qui les assaillent et face auxquels
le pouvoir fantoche, dont G. Soro est l’un des rouages essentiels, semble
totalement dépassé. Se répondant à lui-même, le plumitif mercenaire se livre
ensuite à son exercice habituel, qui consiste à se gargariser en public, sans
pudeur, de lieux communs éculés, de pétitions de principe, voire de purs
mensonges… Qui a lu une fois cet auteur prolixe le connaît par cœur. C’est
pourquoi plutôt que de gaspiller votre temps en vous donnant à lire un texte
qui ne vous laissera qu’une âcre impression de déjà lu, tant la doublure de G.
Soro s’y parodie lui-même, nous vous invitons à vous régaler des réactions
vigoureuses que sa dernière fantaisie a provoquées chez quelques-uns de nos
compatriotes internautes, qui ont fait pour nous le sacrifice de le lire et de
le commenter.
Bonne
lecture !
La Rédaction
Quelques réactions d’internautes ivoiriens à la lecture de l’article de F. Nyamsi intitulé « La
révolution soroïste est-elle un crime de lèse-majesté en Côte d'Ivoire ? »
Le médiocre SORO a besoin du griot
camerounais NYAMSI pour articuler des idées floues qui ne sont pas celles de
SORO. C'est cela le SORO-isme. Cela est bien triste ! (Odile Sylla)
En général, « révolution »
rime avec « bain de sang » et pas avec « réconciliation ».
Heureusement que cette pseudo-révolution n'est qu'une vaine tentative
d'intoxication qui n'existe que dans la cervelle d'oiseau de ce philosophe à la
petite semaine. Si ce « professeur » a des élèves, ça craint pour eux
! (Forestier
de Lahou)
Il est temps de franchement
s'inquiéter sur les motivations de Guillaume Soro. Pourquoi peut-il payer un
griot pour faire la science-fiction politique avec ses prétentions de
pseudo-savant. Il serait temps que ce personnage s'occupe des histoires de son
pays avec la dictature brutale qui y règne et les Anglophones qui veulent leur
liberté au lieu de s'incruster pour des raisons monétaires dans nos affaires
nationales. Donc, il faut partir vite fait ! Ce type est-il réellement un
agrégé d'université ? (Affidoskas)
Sans doute Soro est courageux et
légitimement ambitieux. Malheureusement lui et son philosophe hagiographe
oublient qu'une révolution est avant tout culturelle. Depuis 2002
jusqu'aujourd'hui ils n'en ont donné aucune preuve à part les fourberies
tactiques de l'un et le griotisme éhonté de l'autre. Pauvre pays. (Loethiers mackan)
« Tribune internationale » ??? Foutaise ! (Forestier de Lahou)
Bonebo est un SORO-adorateur. C'est
son droit et je respecte cela, bien que ses arguments ne soient pas
convaincants du tout. SORO n'a aucun mérite. C'est un vaurien qui sans la
violence FESCIste et puis les armes de la rébellion, ne serait jamais devenu
premier-ministre, puis ensuite PR de l'Assemblée. Mais de là à dire qu'il doit
absolument devenir le futur PR de la CI, il y a un pas que je ne voudrais pas
franchir. La CI est un trop grand pays pour être confiée à un autre « aventurier »
de la trempe de SORO, cet analphabète notoire... (Sarafina)
Sans vergogne, ni Kelman, ni
Kouamouo, ni Onana, ni Beyala ou Franklin Nyamsi, ne s'inquiètent des
violations des libertés au Cameroun. Ils s'activent autant que possible à
lisser l'image de la barbarie camerounaise et à exercer toute leur verve
critique là où ils n'ont rien à perdre : dans les affaires de pays étrangers
tels que par exemple la CI ou le Burkina Faso qui peuvent nourrir leur « business »
médiatico-diplomatique. C'est triste de voir un pseudo-intello camerounais à l'œuvre
qui agit en tant qu'escroc intellectuel. (Fatou Diagne)
On trompe les Ivoiriens en
affirmant que c'est la lutte de Soro qui a fait le RDR ou en traitant Soro de
rebelle et de chef de la rébellion, Soro qui n'était qu'un jeune Fesciste de 29
ans en 2002, sorti de l'université FHB de Cocody-Abidjan sans aucun diplôme
(pas même son DUEL 2 d'anglais) et sans aucun emploi stable. (Il n'avait à
l'époque encore jamais travaillé de sa vie). Quel magicien fût-il pour trouver
plus 25.000.000 FCFA par mois/an, tout juste pour le traitement des combattants
exilés au Burkina Faso ; en plus acheter des armes lourdes, que même l'armée
Ivoirienne de l'époque n'avait pas et des tenues militaires, pour mobiliser
aussi toute la presse européenne pour porter son discours haut et fort. Comment
lui, Soro sorti presqu'analphabète de l'université a-t-il pu publier un livre «
Pourquoi je suis devenu rebelle ! » ? Et les Ivoiriens, naïvement croient
que c'est avec Soro que la rébellion de 2002 a atteint son objectif en 2011 ! Il
faut bien comprendre que Soro avait un commanditaire et il faut alors bien se
demander qui était le vrai «père» de la rébellion de 2002 ? Il est bien évident
que le père de la rébellion ne peut en aucun cas être le Soro de 2002, sorti
sans aucun diplôme de l'université, et qui en plus n'avait jamais travaillé de
sa vie. Je crois qu'il faut dire aux Ivoiriens de revisiter l'histoire de la
crise de 1993 à 2011. Alors seulement, comprendront-ils mieux ce qui se passe
aujourd'hui. (Aya de Yopougon)
Que fait ce natif du Cameroun
Nyamsi dans la réconciliation en Côte-d'Ivoire ? C'est de la plaisanterie et
aussi de la pure provocation. Le vrai panafricanisme doit être réciproque et
non pas unilatéral (uniquement du Cameroun vers la Côte d'Ivoire). Les
Camerounais veulent s'ingérer dans la politique ivoirienne, mais les mêmes Camerounais
ne reconnaissent pas aux Ivoiriens le droit de s'ingérer dans les affaires
camerounaises. Dans le panafricanisme véritable et sincère, le droit
d'ingérence doit être partagé autant par les Ivoiriens que par les Camerounais.
C'est pour cela que l'ingérence camerounaise (dans la politique ivoirienne) ne
doit pas être acceptée par les Ivoiriens. C'est de la foutaise et c'est tout
juste un exutoire pour les Camerounais qui évitent ainsi de critiquer leur roi
fainéant Biya 1er, président à vie du Cameroun. (Diarrasse Napié)
Non, « Soro », pardon « GKS »
ou « Bogota » n'est pas du tout le Macron ivoirien. Loin s'en faut !
Pour les « suiveurs » de « Soro » ou pour le RDR qui est
muet, « Macron » a fait des émules sur les bords de la lagune Ébrié,
allons Soroment ! Mais comparaison n'est pas raison. Soro après plus de 10 ans
à la Fac d'anglais de l'université FHB de Cocody à Abidjan est sorti sans aucun
diplôme universitaire. Pire, avant la rébellion de 2002, Soro à 29 ans n'avait
encore jamais travaillé de sa vie non plus. Par contre, Emmanuel Macron lui,
est allé à l'école et il a eu un brillant parcours universitaire (DEA de
philosophie à l'Université de Paris X-Nanterre, Sciences po (IEP de Paris), ENA
(Ecole Nationale d'Administration), alors que Soro n'allait pas en classe à la
Fac, occupé qu'il était à fomenter les grèves sauvages et sans fin de la
violente FESCI (ce qui explique bien pourquoi le niveau de Soro ne dépasse pas
le niveau de 2e année du Duel d'anglais, et en plus de cela Soro ne parle même
pas bien anglais alors qu'il a fait la Fac d'anglais pendant plus de 10 ans, ce
qui est un comble!)...Comparaison n'est vraiment pas raison quand on regarde
Soro et Macron. Macron a travaillé à l'Inspection des finances en France qui
est un grand corps de l'Etat. Puis Macron a aussi travaillé pour la Banque
d'affaires Rothschild où il a gravit tous les échelons pour devenir Partner,
puis Macron a été nommé ministre, par son travail et son mérite (sans les armes
de guerre et sans aucune terreur, ni violence...) Alors, de comparer un cabri (Soro
alias GKS) à un pur-sang (Macron), c'est de la bêtise sans aucune limite ! « Soroment »
(Fatou
Diagne)
@Nyamsi : Le panafricanisme passe
nécessairement par le nationalisme. On ne peut pas s'autoproclamer insolemment
panafricain, sans toutefois être nationaliste. C'est d'ailleurs la défense des
intérêts d'une nation qui implique celle du continent (Afrique). C'est ainsi
donc qu'à juste titre, Thomas Sankara disait en 1984 à l'ONU : « L'Afrique aux Africains, et le
Burkina aux Burkinabé ». Cela n'était pas non plus une phrase pour
l'incitation à la haine, mais tout juste une pure vérité. Quant à toi Franklin
Nyamsi, quelles sont les actions à caractère nationaliste menées par toi, dans
ton pays d'origine, le Cameroun ? Oses-tu seulement critiquer le roi Biya 1er
de ton pays ? Ton nationalisme est-il stérile, lorsqu'un triste et diabolique
individu comme Biya fait de ton pays CAMEROUN sa maison de retraite ? Souffrez
que nous disons ceci: Ton pays natal est sur un volcan en ébullition. La partie
Anglophone camerounaise veut son indépendance, entre temps, tout le nord de ton
pays natal est «enculé» sans lubrifiant, et bien « défoncé » par la secte
terroriste (BOKO HARAM), et, le « trou » du cul du Cameroun « s'élargit » tous
les jours, avec la multiplication des attentats terroristes au Cameroun. Alors,
Nyamsi, vas d'abord faire profiter de tes théories et doctrines philosophiques
tout le peuple camerounais, et ensuite, tu pourras faire profiter le reste de
l'Afrique et enfin, les ivoiriens... (Bahi Zohohaa)
Décidément, il est des silences
plus parlants que tous les discours. Les défenseurs camerounais du despote
Gbagbo pendant la dernière crise postélectorale ivoirienne, nous auront habitués
à bien d'étranges mutismes, chaque fois que leur propre pays natal, le Cameroun
est au cœur du débat démocratique et de l'actualité africaine. Nous devons
ausculter ce patriotisme africain suspect, à tête chercheuse, à allumage
alternatif et à objectifs semi-invisibles. BIYA musèle le Cameroun : Kelman et
Beyala se taisent, tandis que Nyamsi loue Soro, renie son Cameroun natal et
s'autoproclame « Ivoirien ». Que pensent nos anticolonialistes de
Biya et de leur Cameroun natal ? Notre propos est précisément de nous
interroger : Où sont-ils passés, nos anticolonialistes dogmatiques, passés
maîtres dans l'art de pérorer sur la Côte d'Ivoire et la Libye, maintenant que
Biya s'affiche résolument comme candidat à la présidence à vie au Cameroun ? Où
sont passés les Beyala et les Kelman ou Nyamsi quand Biya martyrise les
Anglophones du Cameroun, les seuls à pouvoir encore contester la mascarade
électorale de Biya à chaque élection ? Comment comprendre qu'il existe une
intelligentsia critique de la domination internationale dans un pays comme le
Cameroun, mais que la même intelligentsia soit aux abonnés absents ? Le silence
des charognards camerounais vient de leurs ventres pleins: Venons en donc aux
raisons de cet anticolonialisme dogmatique et osons une hypothèse explicative :
Vraisemblablement, le silence de la bande des anticolonialistes d'opérette du
Cameroun a partie liée avec celui des pseudo-démocrates du FPI. Au fond, les
Kelman, Beyala, et leurs suiveurs donneurs de leçons de patriotisme en Côte
d'Ivoire ne sont ni des patriotes, ni des démocrates africains, mais bel et
bien des pouvoiristes. L'enjeu de leur soutien à Gbagbo fut le soutien de
Gbagbo à leur projet d'insertion politico-diplomatique et à leurs quêtes de
strapontins opportunistes. Nyamsi avec Soro en est l'illustration. (Lago Tape)
En résumant votre article, je ne
peux y voir qu'une incitation à la discorde, à la haine et à l'affrontement non
démocratique .Mais cela ne m'étonne guère. Vous n'êtes ni le premier ni le
dernier « intello » Camerounais ou Africain, à commettre une telle forfaiture.
L'histoire politique de l'Afrique est pleine de ces « intellos agrégés » qui se
pavanent dans les chancelleries en quête d'une gloriole en vue d'avoir un «
pass » d'entrée dans les palais africains. C'est ainsi que vous avez commis la
bêtise de votre vie, en vous installant confortablement dans la presse
ivoirienne pour préparer avec vos complices des crimes contre le peuple
ivoirien. Monsieur Nyamsi, sans connaître votre parcours intellectuel, avec
tout le respect que je dois à toute tête « bien » pensante, il serait juste de
vous ressaisir de sitôt. Car, par votre agissement, vous risquez de participer
à mettre en péril la fragile paix qui s'installe dans le pays d'Houphouët.
Monsieur, en tant que diplômé, mais aussi « philosophe » VOUS ne pouvez ignorer
que les mots que nous utilisons peuvent avoir des effets pervers. Vous savez
bien que c'est tout le cour (sic) du conflit entre le Socrate de Platon et les
sophistes. Mais vous faites fi de tout cela, allant même jusqu'à défier la
moquerie de vos étudiants pour faire des affirmations sans oser donner les
sources de vos propos. Mais, Monsieur Nyamsi, on ne peut vous reprocher votre
mauvaise foi ni votre tendance au sophisme. Peut-être que la vénalité a pris le
pas sur la raison morale que nous enseigne Kant. Comme évoqué plus haut, vous
n'êtes pas pionnier en la matière. Même le grand Heidegger est tombé dans cette
bassesse quand il a fallu qu'il trouve une place dans le parti Nazi. Mais même
en perdurant dans l'immoralisme comme c'est le cas, il faudrait néanmoins
rester sophiste jusqu'au bout. Car le sophisme, s'il a raison de Socrate, ce
n'est pas dans l'arraisonnement, c'est par le raisonnement discursif et
logique. (Youssef
Kouame)
Monsieur Franklin, en se posant ces
questions sur vous, tous les Ivoiriens devraient comprendre que vous êtes le
porteur d'idées funestes que vous attribuez aux autres. Si vous êtes
l'intellectuel camerounais et le « panafricain » dont vous vous
réclamez, quels sont vos succès en termes de construction de la démocratie en
Afrique et notamment dans votre cher Cameroun (natal) qui est dirigé d'une main
de fer depuis plus de trois décennies par Biya 1er ? Je suis parfaitement
convaincu que vous n'en avez pas. J'ai un grand respect pour le Cameroun et les
Camerounais, donc je ne souhaiterais pas rentrer dans les détails. Monsieur
Franklin. Vous avez été choisi pour jouer le mauvais rôle et cela ne vous va
pas. Monsieur l'agrégé de Philosophie, des agrégés il en existe une pléthore en
Afrique comme partout dans le monde. Ceux-ci mettent leurs connaissances au
service de la recherche constructive et de la construction de leur pays. Au
regard de votre rang, c'est ce rôle que vous devez jouer et non pas ce que vous
avez entamé en jouant au prophète dans les auvents des palais somptueux
Africains. Mon pays, la Côte d’Ivoire, a dû avoir à affronter la même race
d'intellectuels prophètes de malheur, et de prédicateurs illuminés autour du
Président Gbagbo. Ils se sont associés pour mettre le feu à ce beau pays et
pour finir ont disparu dans la nature pour se retrouver réfugiés politiques
dans des pays de démocratie comme la France. Vous aviez choisi de rester dans
l'hexagone où vous ne faites pas le poids dans la production des idées
constructives. Ainsi donc pour compenser votre frustration et votre
insatisfaction intellectuelle, vous vous tournez vers des pays comme le mien
pour déverser votre trop plein et ainsi assouvir votre dessein funeste ? S'il
vous plait, Monsieur Franklin Nyamsi, il est à rappeler que le titre
d'agrégation reste juste un titre de rémunération professionnelle en France et
ne saurait être la preuve d'une intelligence au-dessus de la moyenne. (Awoulaba Cool)
Monsieur Nyamsi, ce n'est donc pas
parce qu'on a eu accès à ce titre d'agrégé qu'on peut se croire apte à parler
des réalités politiques qui nous échappent. Un adage de chez nous dit que « l'œuf sait où danser avec aise ». La
réalité politique ivoirienne est trop complexe pour qu'un « oiseau
migrateur », aventurier camerounais opportuniste sans foi ni loi puisse la
disséquer en quelques lignes à travers des sites web au contenu douteux et des
histoires de mauvais gout... (Diarrasse Napié)
Depuis le début et la fin de la
crise ivoirienne dite post-électorale, une certaine intelligentsia camerounaise
a un problème avec notre pays. Tout le monde se souvient des violentes
diatribes de l'écrivaine camerounaise Calixte Beyala et de certains autres
camerounais (Onana, Kouamouo et autres...) contre le Président Ouattara, et
leur soutien sans réserve au régime de Laurent Gbagbo. Jusqu'à ce jour, ces
intellectuels camerounais n'ont toujours pas « reconnu » la légitimité de M.
Ouattara, et ceux de leurs compatriotes qui tentent de nuancer les choses ou de
donner un autre point de vue que le leur sont voués aux gémonies. Un confrère
camerounais qui a réalisé un documentaire sur Laurent Gbagbo, et qui ne le
présentait pas comme un héros de la lutte anticoloniale injustement incarcéré,
a été violemment attaqué par la presse du Cameroun. Pourquoi une telle prise de
position de la part de cette intelligentsia camerounaise ? Le fin mot de
l'histoire m'a été donné par un confrère camerounais à qui je posai un jour la
question. Il me répondit ceci : « Mon
cher ami, dites à M. Ouattara que nous n'avons rien contre lui. Notre problème
est avec la France. Dès qu'elle prend une position quelque part, nous soutenons
l'autre camp. Si la France avait soutenu M. Gbagbo, nous aurions soutenu M.
Ouattara ». Et puis, il y a les « intellos » alimentaires
tels que Nyamsi. Nyamsi chante la gloire de celui qui le nourrit tel Soro en ce
moment. Si demain la manne se tarit, Nyamsi ira chanter les louanges d'un autre
ailleurs. Nyamsi est un « mercenaire » de la plume qui telle une
prostituée se vend au plus offrant ! (Boga Gue Bi)
Ce spécialiste de l'insulte
publique, ce personnage sans foi ni loi au verbiage creux a-t-il le temps de
préparer ses cours dans le lycée de la banlieue de Rouen où il enseigne ? (N'doffou Pierre)
Qu'entend-t-il par « révolution
soroïste » ce truand sans scrupule brasseur de vent qui ne sait pas ce
qu'est la honte ? Quant à Soro Guillaume, ce n'est pas avec ce zigue collé
comme une sangsue à ses trousses qu'il peut prétendre diriger la Côte d'Ivoire.
Quand on n'a même pas le discernement nécessaire pour choisir ses conseillers,
on ne peut en avoir non plus pour diriger un pays. C'est une aveuglante
évidence. (GrMat)
Très bien vu, Professeur. Bravo au
professeur d'avoir entre temps, amené Koffi Tiburce à être plus lucide et à
saluer plus haut, la bravoure, le patriotisme et la grandeur de Soro
comparativement à tous ces agitateurs qui n'ont su rien prouvé. Que Dieu bitume
le chemin que va emprunter Soro pour mieux servir la CIV ! (Bonébo)
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