Dans un article intitulé « Les boucs
émissaires » écrit par le sieur Venance Konan, paru dans Fraternité Matin (30 novembre 2014) et repris par certains cybermédias, ce
pseudo-intellectuel des causes perdues et insoutenables, à la moralité plus
scandaleuse que celle des usuriers médiévaux athées que l’humanité a oubliés
dans le Moyen-Âge mais que l’administration ivoirienne a ressuscités en payant
depuis l’indépendance les mêmes salaires de misère aux fonctionnaires
ivoiriens, et que l’on appelle communément « Margouillats » à Abidjan …un
apprenti-sorcier en terrorisme intellectuel, littéraire et journalistique aux
mœurs plus basses et plus inquiétantes que celles des lanceuses de foulards de
Biétry, un authentique et certifié délinquant et mercenaire avec une plume à la
main qui prostitue ses services au plus offrant et écrit effroyablement pour
soutenir des thèses que le diable n’accepterait pas dans sa cour, et pour
défendre les causes les plus ignobles et les plus dégoûtantes que le diable
lui-même refuserait de défendre. Les enfants qu’on appelle « Les microbes » à
Abidjan traînassent dans les rues avec une machette à la main pour semer la
terreur ; Venance Konan lui traînaille avec une plume-mercenaire mais sème
encore plus de terreur.
Après
avoir traîné Ouattara et le RDR dans les égouts ivoiritaires pendant des
années, Venance Konan est devenu leur porte-voix et griot officiel
Je n’ai pas pour habitude de discuter ou répondre
aux âmes perdues mais les circonstances particulières et douloureuses de la
situation actuelle de la Côte d’Ivoire m’y obligent. La situation est trop
sérieuse et le pays souffre trop pour qu’on laisse Venance Konan continuer à
nous servir ses mêmes délires, hallucinations et crises de folie débités sur
mesure, à la tête du client et dosés en fonction de l’épaisseur de l’enveloppe
perçue. En sortant de cette crise, nous devons affronter et régler de façon globale,
et si possible de façon définitive, tous les problèmes généraux qui ont pendant
longtemps empoisonné la vie de nos concitoyens. Nous ne devons pas régler les
problèmes au compte-gouttes, et nous ne devons pas aller de crise en crise.
Cette crise doit nous enseigner et nous n’avons plus droit à l’erreur. Alors
pendant que nous y sommes, le moment est propice et opportun pour résoudre le
cas du sieur Venance Konan, véritable stipendié, sacripant et dur à cuire de la
pègre et du mercenariat journalistique en Côte d’Ivoire, vendant ses services
aux plus infâmes, sombres et lugubres hominidés que l’espèce humaine a le
profond regret de compter dans ses rangs.
Venance Konan était devenu
l’apôtre de l’Ivoirité…
|
Le commun des mortels en Côte d’Ivoire doit
certainement se rappeler qu’il s’agit ici du même Venance Konan, journaliste
anonyme, insignifiant et médiocre de Fratmat, qui avait subitement trouvé une
astuce malicieuse pour sortir de son anonymat et s’était particulièrement fait
remarquer dans les années 90, pendant la présidence d’Henri Konan Bédié, pour
sa farouche hostilité à antagoniser Dieu le père lui-même, contre un certain
Alassane Dramane Ouattara « le petit mossi et le bôyôrôdjan », dans la défense
religieuse des thèses « ivoiritaires » du Président Bédié. Venance Konan
s’était alors lâché impitoyablement, sauvagement, infatigablement et
insatiablement contre Alassane Dramane Ouattara (…). Sa plume se mit à
travailler comme un Kalash. Et jamais une plume n’avait autant servi comme une
arme de guerre. Venance Konan était devenu « l’Apôtre » de l’Ivoirité d’Henri
Konan Bédié …cette même Ivoirité qui enverra plus tard la guerre en Côte
d’Ivoire avec cette fois Venance et Bédié dans le camp des prétendues victimes
de l’Ivoirité qui nous attaquent. Toujours est-il que, pendant la présidence de
Bédié, Venance avait passé ses jours et nuits à insulter dans les journaux
Alassane Ouattara « le petit mossi » qu’Houphouët avait appelé
exceptionnellement pour faire un travail mais qui en a par la suite eu les yeux
gros, a développé un appétit inextinguible pour le pouvoir et a voulu lutter le
trône royal avec les ayant-droits de sang.
Venance Konan a passé des années à insulter,
injurier et dénigrer de tous les noms et adjectifs peu flatteurs dans le
dictionnaire et l’alphabet de la malhonnêteté Alassane Dramane Ouattara, avant
de se raviser subitement, changer de camp, et devenir le laudateur et griot
attitré du même Ouattara au même moment où Bédié ayant perdu le pouvoir avait
rejoint le camp Ouattara. Bédié renversé par coup d’État en 99 était aux abois.
Il était aigri, surtout que Gbagbo, le petit Bété, était devenu le nouveau
patron. D’abord, Gbagbo est Bété et secundo c’est l’ennemi juré du PDCI. Le
seul et celui-là même qui avait osé se déclarer publiquement opposant en Côte
d’Ivoire et réclamait la démocratie et le pluralisme politique plutôt que de la
fermer, se ranger derrière Houphouët et le PDCI, et « manger » tranquillement
comme tout le monde. Alors le petit Bété a finalement pris le pouvoir … contre
vents et marées.
Qui l’eut cru. Qui au PDCI avait une seule fois vu
dans son pire cauchemar que Gbagbo prendrait un jour le pouvoir et serait assis
dans le fauteuil d’Houphouët comme Président de la Côte d’Ivoire ? Ce fauteuil
qui, dans leur entendement, revient et doit revenir de droit légal exclusivement
au PDCI et particulièrement aux descendants et familles alliées des Boigny. Ce
Gbagbo que le PDCI avait fini par juger inoffensif et qui amusait la galerie
avec ses légendaires marches de contestation sans fin la serviette au cou. Ils
ignoraient par contre qu’en combattant Houphouët pendant si longtemps, Gbagbo
était allé à la bonne école car il avait appris toutes les ruses du vieux.
Gbagbo et le FPI n’étaient pas supposés être les ultimes bénéficiaires du coup
d’État de 1999, car il n’a pas été fait pour eux. Mais Koudou en fin politicien
a vu là une chance rare, il a sorti le grand jeu politique et le pouvoir est
tombé dans ses mains …démocratiquement.
Ses adversaires se plaignent depuis de comment il a
accédé au pouvoir, non pas parce qu’il n’y a pas eu d’élections ou qu’il ne les
a pas gagnées, mais en réalité parce-que Gbagbo les a surpris par ses manœuvres
politiques du reste très habiles et rusées, qui ont créé les conditions de son
accession. C’est comme se plaindre à un match de foot que son adversaire
dribble trop et exiger que l’arbitre le disqualifie pour ses dribbles
excessifs. C’est malsain, on ne peut pas faire une telle requête à un arbitre.
Ouattara a fait un coup d’État mais n’a pas eu le courage de l’assumer et
prendre le pouvoir. Il a plutôt laissé les bidasses, caporaux et caporaux-chefs
gérer la suite même après avoir réussi le coup. Or les bidasses et les caporaux
savent tenir un fusil et semer le désordre, mais les stratégies politiques à
adopter ou poursuivre après dépassent leur grade et leur niveau intellectuel.
Les jeunes soldats avaient finalement le pouvoir mais ignoraient quoi en faire
puisque Ouattara n’avait pas assez de couille pour venir jouer sa partition
après celle des soldats. Résultat : les soldats ont donné le pouvoir à un de
leurs généraux pour qui ils avaient une estime particulière car il était aussi
réputé pour être proche de la troupe.
Feu le général Guéi avait ainsi hérité du pouvoir
d’État sur un plateau d’or. Il était peut-être bon militaire, mais face au routier
politique Gbagbo, il n’avait aucune chance. Gbagbo a appliqué les ruses
d’Houphouët-Boigny, et il est devenu chef suprême, démocratiquement, légalement
et constitutionnellement. Attaquer la présidence de Gbagbo Laurent sur sa
légalité, constitutionnalité ou son caractère démocratique est pire que de la
mauvaise foi, c’est de la folie. Si vous faites un coup d’État et que vous
n’êtes pas capable de l’assumer et à la fin votre adversaire se montre plus fin
et rusé que vous, il faut l’accepter et ce n’est guère une raison pour vouloir
sa mort. L’accession à la présidence ivoirienne de Gbagbo fut une douche
froide, très froide pour eux tous, et la consternation était totale dans le
clan des héritiers d’Houphouët-Boigny. Ils se sont alors dit : « mossi est
mieux ». Mieux vaut se soumettre à un mossi qu’a un Bété. « Même si le mossi
veut brûler le pays, qu’il brûle, on s’en fout. C’est mieux que d’être commandé
par un Ivoirien Bété ». La haine a pris le dessus or la haine est l’absence de
la raison. Ainsi Bédié s’était subitement retrouvé dans le camp
Ouattara/Rébellion à Marcoussis, à la grande surprise de tous, et avec lui tous
les Venance Konan et consorts. Aussitôt après Venance retourna sa plume et son
venin contre Gbagbo Laurent, le FPI et les gens de l’Ouest. Quel personnage
ignominieux !
On s’était alors tous demandé qu’est-ce qui n’a pas
marché et si Venance Konan avait encore tous les boulons en place. Après avoir
traîné Ouattara et le RDR dans les égouts ivoiritaires pendant des années,
Venance Konan était devenu leur porte-voix et griot officiel alors même que les
rebelles égorgeaient et massacraient des Ivoiriens innocents dans les
campements, villes et villages. Venance Konan avait perdu son âme et toute
mesure de la réalité, de la vérité et du mal infligé gratuitement à autrui. Il
aura fallu attendre la fin de la crise pour comprendre que cette âme errante
avant la mort faisait tout ce tapage pour un miséreux poste de DG d’un journal
dinosaurien et en voie de disparition comme les dinosaures. Aujourd’hui il
directeur de ce journal, heureux comme un voleur dans une résidence cinq
étoiles dont les propriétaires sont en vacances.
Leurs
parents leur interdisaient formellement de jouer ou s’associer avec des petits
noirs, surtout les filles
Venance Konan a écrit pendant toute la période de
la rébellion armée pour défendre corps et esprit – il n’a plus d’âme – les
tueries, juste pour devenir directeur d’un journal antédiluvien. Un journal qui
date de l’antiquité « PDCIste », qui n’a jamais pu sortir de l’ombre et la
Préhistoire du PDCI ou l’idéologie du parti unique, pour se reconvertir et
s’adapter aux temps modernes et aux nouvelles réalités politiques ivoiriennes.
Un journal qui écrit encore les ragots et balivernes du parti au pouvoir comme
au temps du parti unique et qui pointe régulièrement à sa Une les pires folies
de grandeur et illusions d’Alassane Ouattara en les présentant comme vérités
bibliques. Un journal que personne ne lit, dont tout le monde se moque, et qui
serait déjà dans le sépulcre sans l’intervention financière ponctuelle,
continuelle et perpétuelle de l’État. Les efforts inlassables et infatigables
de plume mercenaire de Venance Konan en faveur d’une rébellion sanguinaire qui
a commis des atrocités et crimes vils et innommables contre des populations
civiles pendant presqu’une décennie auraient été justifiés par un poste minimal
de Ministre de l’Information inamovible dans le gouvernement Ouattara au moment
du partage du butin de guerre. Mais faire tout ça pour finir directeur d’un quotidien
dans le coma et perpétuellement en réanimation financière ? Ça dépasse
l’entendement et toutes mesures de la raison. A la place de Venance, j’aurais
même exigé à Ouattara la direction de « Le Patriote » qui est plus vif comme
quotidien et parait plus dans le courant du moment même s’il ment naturellement
comme un félon, plutôt que le vieux Fratmat qui opère toujours comme au temps
du parti unique.
Il y a longtemps que je ne lis plus les démences et
névroses de Venance, j’ignore ce dont il parle ces jours-ci – et je ne veux
même pas savoir – mais je suis par hasard tombé sur un de ces articles sur un
site ivoirien. Cette fois sa plume mercenaire défend les comportements et
pratiques les plus odieux, répréhensibles et immoraux des Libanais que les Ivoiriens,
et les Africains de façon générale, dénoncent presqu’unanimement. Je n’ai
JAMAIS rencontré un Ivoirien, ou même un Africain, qui a eu un SEUL mot tendre,
envers les Libanais de Côte d’Ivoire ou de n’importe où d’autre en Afrique. Les
Libanais ne considèrent même pas les noirs comme des êtres humains – et ça plus
d’une fois des Libanais me l’ont avoué en personne. Ils m’ont dit que les
filles Arabes qu’on voit avec des ivoiriens, qui ont épousé des Ivoiriens ou
qui se prostituent à Abidjan sont toutes maghrébines, la plupart marocaines. Et
que s’ils surprennent une Libanaise avec un noir, ils vont la tuer ou l’envoyer
au Liban pour la faire tuer là-bas pour éviter que d’autres Libanaises suivent
son exemple. Oui des Libanais m’ont dit ça en personne, et inutile de vous dire
à quel point j’en fus choqué pour des gens qui ont fui la guerre chez eux et
qui jouissent de notre hospitalité depuis des décennies, mais qui pensent et
parlent ainsi de nous.
Les blancs généralement sont instruits, surtout
ceux qui viennent en Afrique en tant que coopérants pour travailler. Donc, même
quand il y en a un qui est raciste, il le fait avec subtilité, finesse et
classe. Ce sont habituellement les blancs pauvres, désœuvrés, analphabètes ou
demi lettrés qui vivent au grand jour et quotidiennement leur racisme avec
amertume, bassesse, absurdité, voire déraison et auto-aliénation. Ils portent
le racisme comme un étendard, une raison d’être, ignorant que c’est en réalité
un fardeau. Parce qu’il n’y a rien qu’un blanc pauvre déteste plus qu’un noir
qui s’en sort plutôt bien, ou mieux que lui. Un noir qui réussit fait plus de
jaloux chez les blancs que chez les noirs – Barack Obama a autant d’ennemis
politiques aux États-Unis parmi certains blancs qui le détestent comme la peste
et ne ratent aucune occasion de l’humilier ou même s’attaquer à ses enfants
mineures parce qu’un noir, fils d’immigré, a réussi là où les blancs les plus
riches, les plus connus et venant des familles Américaines les plus
prestigieuses ont échoué. Comment le nègre qui, quelques siècles en arrière
aurait été leur esclave de plantation, a pu réussir là où eux ont échoué
lamentablement, et plus d’une fois pour certains, ayant dépensé et dilapidé des
dizaines de millions de dollars de leur propre fortune. Donc en fin de compte
c’est plus de la jalousie que du racisme. Par contre le racisme est plus
flagrant et plus abject chez les Libanais d’Afrique parce qu’eux sont
usuellement des illettrés, sans classe ni finesse aucune. Ils se raclent la
gorge et crachent partout, avec un certain dédain et manque total de
savoir-vivre, pendant qu’ils vous parlent. Ce sont des brutes, des lourdauds et
béotiens qu’une haute société ne voudra pas. Ils n’ont aucune considération
pour les noirs.
Le jour où la communauté libanaise recevait le président de la République libanaise |
J’ai fait une partie de mon école primaire dans un
établissement à Abidjan où il y avait des petits Libanais et quelques petits
blancs. Je me rappelle qu’il y avait une fille libanaise dans ma classe qui
m’appréciait. Tant que les autres petits Libanais n’étaient pas à côté et ne
pouvaient pas voir ce qu’elle faisait, elle voulait toujours m’approcher et
papoter avec moi. Mais dès qu’il y avait un autre Libanais dans les environs
qui pouvait la voir, elle se comportait comme si elle ne me connaissait pas.
J’avais fini par en avoir marre et la rabrouer un jour, puis je ne lui parlais
plus et je l’évitais. Chaque fois que j’étais seul dans un couloir de l’école,
elle m’approchait et essayait de me parler mais je l’envoyais systématiquement
balader en lui disant que je ne voulais plus jouer avec elle ou être son ami.
Je n’acceptais plus les sandwichs qu’elle m’offrait en cachette, que pourtant
j’aimais bien et partageais avec mes copains qui m’en demandaient toujours.
Foudroyée par ma nouvelle attitude envers elle, elle a fini un jour par m’expliquer
qu’elle ne me rejetait pas devant les autres enfants libanais pour me vexer, au
contraire elle m’aimait bien, mais leurs parents leur interdisaient
formellement de jouer ou s’associer avec des petits noirs, surtout les filles.
Les noirs sont uniquement leurs serviteurs. Les noirs travaillent pour eux, et
la relation s’arrête là.
la
famille de l’épouse libanaise de George Clooney était opposée à son mariage
avec un homme qui n’est pas Libanais
Des années après dans ma jeunesse, j’ai eu des amis
libanais. Ces gens ne considèrent pas du tout les noirs comme des êtres
humains. Et je me demande d’où Venance Konan tire cette audace pour vouloir les
défendre. Même quand on a perçu de l’argent, il faut beaucoup de courage pour
défendre les Libanais d’Afrique. Je ne suis pas raciste, je ne l’ai jamais été
et franchement ça ne m’intéresse même pas car j’ai beaucoup mieux à faire avec
mon temps et mes émotions. En Côte d’Ivoire je trouvais le comportement des
Libanais envers les Ivoiriens inadmissible et inacceptable. Mais je ne savais
toujours pas c’est quoi réellement le racisme jusqu’à ce que je quitte
l’Afrique pour l’Occident. Et depuis, pendant mes vacances au pays, à deux ou
trois reprises, j’ai été à un doigt de tabasser des Libanais parce-que je ne peux
plus accepter ou concevoir aujourd’hui leur façon de traiter les noirs. À
Abidjan un Libanais est premier à vous tenir des propos irrespectueux, sales et
désobligeants, et premier ensuite à menacer de vous faire enfermer au
commissariat comme si la police ivoirienne était au service exclusif de la
communauté Libanaise. Ils sont gonflés, vaniteux, inamicaux, méprisants,
discourtois, présomptueux, arrogants, suffisants, antisociaux, racistes,
inutilement hostiles et de surcroît … très malhonnêtes. Cette fois avec son
apologie des Libanais de Côte d’Ivoire, le mercenaire de la plume Venance Konan
est allé plus bas que dans les égouts. Car on peut trouver mieux à défendre en
Côte d’Ivoire parmi les communautés étrangères que la communauté libanaise.
Mais Venance n’osera jamais écrire pour louer l’esprit fraternel, communautaire
et sociable des nombreuses communautés étrangères en Côte d’Ivoire qui le
méritent véritablement parce qu’il n’a rien perçu d’elles. Elles ne lui ont pas
mouillé la barbe. C’est un journaliste de la panse, un véritable mercenaire qui
aboie comme un chien fou avec une plume pour chanter les louanges du plus
offrant. Même si le plus offrant vit de la traite négrière ou du commerce
triangulaire des temps modernes.
Pour des gens qui vivent en Afrique depuis des
décennies, les entendre parler des noirs est choquant, voire révoltant. Il y a
certainement autres choses à reprocher aux occidentaux d’Afrique, mais vous ne
trouverez pas ce genre de comportement chez les Français et autres Européens qui
ont fait l’Afrique. Vous n’entendrez pas des Européens qui ont vécu longtemps
en Afrique parler des noirs comme des bêtes sauvages, comme les Libanais le
font. Au contraire, ce sont les blancs qui ont vécu en Afrique qui défendent
les noirs quand ils retournent chez eux et se retrouvent face aux autres blancs
racistes dans leur pays. Et d’ailleurs beaucoup d’Européens repartent avec une
épouse africaine car ils sont souvent bien intégrés et ils ont adopté la
culture africaine. À l’opposé, quand une noire tombe enceinte d’un Libanais en
Afrique, il lui offre de l’argent pour aller se faire avorter ou attribuer la
grossesse à quelqu’un d’autre.
Ils ne veulent généralement même pas d’une femme
noire ou un enfant métis dans leur famille. Ils sont incroyablement abrutis,
attardés, ils n’ont aucune envie de s’ouvrir au monde ou moderniser leurs mœurs
et je me suis souvent demandé qu’est-ce qu’ils foutent en Afrique chez les
autres pour des gens aussi arriérés et fermés. Les mulâtres ivoiro-libanais qui
n’ont jamais été reconnus par leur père venu du Liban pullulent dans les rues
d’Abidjan et on en voit pas mal qui vivent dans la misère avec leur pauvre mère
ivoirienne. Tenez-vous bien, la famille de l’épouse libanaise de la superstar
hollywoodienne George Clooney était opposée à son mariage avec un homme qui
n’est pas de sa culture – elle appartient à une petite ethnie minoritaire au
Liban – et qui n’est pas Libanais, alors que des millions de femmes à travers
le monde fantasmaient sur cet élégant et talentueux acteur très apprécié du
public. Alors question : Si une famille libanaise pense cela de George Clooney,
un blanc qui a tous les atouts pour plaire, séduire et attirer, que pensent les
amis libanais de Venance Konan des Africains ordinaires, pauvres ou en situation
précaire chez qui ils viennent faire leur commerce en Afrique pour s’enrichir ?
Question FRAR.
En discutant avec les Africains des autres pays où
il y a les Libanais, le récit est pareil partout, triste et désolant. Certains
sont même fiers de m’apprendre qu’ils ont chassé les Libanais de leur pays. Et
ce sont les locaux qui tiennent tout le commerce en main. J’ai connu un Ivoirien
dans les années 80 qui a travaillé pour des Libanais pendant une période de
vaches maigres dans sa vie. Il m’a confié qu’il n’avait pas le droit de prendre
ses repas dans les vaisselles de la maison. Et il n’avait pas le droit non plus
d’utiliser les verres de ses employeurs pour boire de l’eau. On ne lui donnait
que les restes des aliments, et il n’était autorisé qu’à manger dans les
assiettes de leurs animaux domestiques. Il a conté que c’en était ainsi avec
tous les autres Ivoiriens ou Africains qui travaillaient pour des Libanais dans
son entourage. Pour se venger, chaque fois que son patron à la boutique lui
demandait d’aller à la maison pour lui rapporter un verre d’eau ou de jus, en
route de la maison pour retourner au magasin, il crachait dans le verre et
mixait avec l’eau ou le jus. Je mets le sieur Venance Konan au défi de tendre
un micro public aux gens ordinaires dans la rue en Côte d’Ivoire, ou n’importe
où d’autre en Afrique, et trouver dix personnes qui parleront en bien des
Libanais.
Parlant de la contribution imaginaire des Libanais
à l’économie ivoirienne, je me demande sérieusement quelle poudre ou herbe
Venance Konan ajoute à sa pipe pour fumer : Est-ce de la cocaïne, de l’héroïne,
du crack ou du chanvre indien ? Parce que, apparemment et vraisemblablement, ce
monsieur devait avoir perdu quelques boulons dans la tête au moment où il
écrivait son apologie déplacée et mal inspirée des Libanais de Côte d’Ivoire.
Il devait avoir perdu tout sens de la réalité. Au-delà de leur racisme
flagrant, très poussé, révoltant et insupportable, au-delà de leur haine
aveugle, injustifiée, sans pareil et sans égal des noirs, les Libanais, ce sont
des gens que vous ne voulez pas dans votre économie. Les Libanais ne bâtissent
pas et ne construisent pas une économie ; ils la démolissent. Ce n’est
accidentellement, pas intentionnellement que, leur présence souvent encombrante,
profite à l’État et aux populations.
Les
Libanais ont participé au financement de la rébellion
D’abord ils sont pour la plupart des analphabètes
et des broussards. Ils ne comprennent rien aux concepts d’État, nation,
économie, impôts, droits de l’homme, législation du travail, droit des
employés, relation juridique employeur-employé, etc. En plus ce sont de
véritables bandits et ils opèrent presque comme la mafia. Les pays africains
n’ont pas des polices assez équipées ou sophistiquées pour démanteler leurs
réseaux et les mettre à l’ordre et à la loi. Ils viennent en Afrique pour un
but et un seul : gagner de l’argent. Et ils le feront par tous les moyens,
légaux, illégaux et même les moyens les plus moralement répréhensibles. Il n’y
a pas plus malhonnête qu’un Libanais et ils sont souvent impliqués dans toutes
sortes de trafics illicites et illégaux, ou en sont carrément la source. Le
magasin n’est dans bien des cas qu’une couverture : ils trafiquent les drogues,
les faux billets, les marchandises, la contrebande en tout genre, la
contrefaçon en tout genre, etc. Ils feront tout ce qui peut leur faire gagner
de l’argent, habituellement par des voies illégales – ils n’aiment pas la voie
normale car ils n’ont aucune intention de payer les droits de l’État.
La nature a horreur du vide et il n’y a rien que
les Libanais font ou entreprennent en Côte d’Ivoire que les Ivoiriens eux-mêmes
n’auraient pas pu avec l’aide et l’assistance de l’État depuis l’indépendance
en 1960. La présence libanaise et leur position spéciale de privilège en Côte
d’Ivoire est une autre bêtise et une autre bombe à retardement d’Houphouët-Boigny
qui va nous sauter tous au visage tôt ou tard. Houphouët est mort mais il nous
a laissé beaucoup de problèmes. Aujourd’hui les Libanais ne se content plus
seulement de faire du business, voler l’État, exploiter les populations et
piller les ressources à commencer par le café et le cacao qu’ils dominent et
achètent bien souvent à prix d’usure à nos paysans, ils prennent maintenant une
part très active dans la vie politique du pays et s’octroient des droits. Feu
l’ex-chef rebelle IB avait confessé avant d’être assassiné par son chef
Ouattara qu’un Libanais d’Abidjan avait donné soixante millions de francs CFA
pour aider et financer les rebelles pendant qu’ils étaient à Ouagadougou
s’apprêtant à ouvrir le feu et les portes du séjour des morts sur la Côte
d’Ivoire.
Les Libanais ont participé au financement de la
rébellion qui a secoué et endeuillé la Côte d’Ivoire pendant dix ans avec à la
clé des milliers d’innocents morts. Aujourd’hui chaque parti politique ivoirien
a ses Libanais ou le Libanais lui-même suit les vents, change de camp et traîne
sa carapace chez le nouveau parti au pouvoir. Ils étaient avec Gbagbo, et le 11
Avril 2011, à peine une heure après la chute de Gbagbo Laurent ils se sont tous
déportés au Golf Hôtel pour renier le président fraîchement renversé par coup
d’État et présenter « leur lettre de créance » puis faire allégeance à Alassane
Ouattara, le vainqueur de la partie et nouvel homme fort du pays grâce à
l’intervention militaire franco-onusienne. Nous ne voulons plus de ça en Côte
d’Ivoire, et on ne peut pas se permettre de réagir aux crises continuellement
comme des gens irresponsables. Il faut anticiper et prévenir. Gouverner, c’est
anticiper. Les Libanais s’impliquent de plus en plus très fortement et
profondément dans la vie politique ivoirienne, au point de financer des
rébellions. C’est inadmissible et inacceptable. À cette allure, c’est juste une
question de temps avant qu’on ne soit confronté à une candidature ivoiro-libanaise
à la présidence de la république et qu’on se retrouve dans une crise bis du
genre Alassane Ouattara.
Houphouët
leur accordait les privilèges qu’il refusait aux noirs, aux Africains
La Chambre de commerce ivoiro-libanaise autour de J. Ahoussou, alors Premier ministre |
Mais comment les Libanais sont-ils devenus si
riches en Côte d’Ivoire et à travers l’Afrique, surtout francophone – comme
d’habitude… toujours l’Afrique francophone. Houphouët et les autres leaders africains
de l’indépendance leur accordaient les privilèges qu’on refusait aux noirs, aux
Africains. La licence import-export par exemple était délivrée presque exclusivement
aux Libanais et autres étrangers. On refusait presque tout aux Ivoiriens qu’on
encourageait à poursuivre des entreprises aussi bidon que futiles comme les
maquis, les bars, les discothèques, dépôts de boissons et autres pendant que
les Libanais contrôlaient tous les grands business dans le pays. Ce n’est donc
pas une coïncidence ou un hasard si les Ivoiriens sont restés engrangés dans
les business éphémères, et quelquefois précaires, cités supra depuis
l’indépendance. Les Libanais pendant ce temps et pendant des décennies ont
contrôlé presque exclusivement l’importation, la distribution et la
commercialisation des produits de consommation qui rentraient en Côte d’Ivoire.
Et ils ont amassé des fortunes colossales. En prenant exemple sur nos sœurs et
mamans Gouro du marché d’Adjamé et en voyant comment elles sont si bien
organisées et se débrouillent à merveille, dites-moi dans quel domaine légitime
d’affaires elles n’auraient pas pu remplacer les amis libanais de Venance Konan
si l’État leur en donnait la chance.
Les amis de Venance ont amassé des fortunes
considérables en Côte d’Ivoire, et ils en ont payé très, très, très peu en
impôts et droits à l’État. Le reste a été rapatrié au Liban et ailleurs en
dehors de chez nous. Ils ramenaient l’argent chez eux, non pas par transfert
bancaire, mais dans des cercueils faisant croire à des rapatriements de corps
de compatriotes décédés à l’étranger afin d’échapper au fisc et à tout contrôle
des devises par l’État. Et pendant longtemps la ruse a marché jusqu’au jour où
de braves policiers ivoiriens en service à l’aéroport d’Abidjan ont insisté
pour voir le corps du défunt dans le cercueil, étant donné la fréquence devenue
assez régulière des décès et transferts de corps dans la communauté libanaise.
Le cercueil ouvert de force par les policiers ivoiriens devant les tentatives
d’intimidation des Libanais qui feignaient de pleurer leur parent mort, et
menaçaient de saisir les ministres ivoiriens des Affaires Étrangères et de
l’Intérieur aux fins de se plaindre et créer l’incident diplomatique pour
non-respect de leur défunt par les agents, c’est avec stupéfaction totale qu’on
a découvert des paquets d’argent soigneusement emballés à la place d’un
cadavre. Ils gagnaient tout cet argent mais ne payaient pas d’impôts – ils n’y
croient pas. Si un Libanais doit dix millions de francs CFA d’impôts, il va
préférer soudoyer l’agent des impôts même à hauteur de neuf millions et faire
l’économie d’un million si possible plutôt que de payer sa facture. Voilà les
réalités économiques du terrain au sujet des Libanais que l’escroc de Venance
Konan essaie de présenter comme des enfants de chœur. En Côte d’Ivoire les
jeunes rêvent et luttent pour entrer au service des impôts après leurs études.
À cause des Libanais, presque tous les agents des impôts sont sauvagement
riches, plus riches que des ministres.
Une seule raison pousse les noirs en Afrique à
travailler pour un Libanais : la misère et le manque d’emplois. Beaucoup de
jeunes néanmoins préfèrent le chômage et trimer dans leur quartier plutôt que
d’aller subir le racisme, l’insolence et l’arrogance d’un Libanais, en plus
pour un salaire de merde. En plus d’être de merde, le salaire n’est même pas
payé régulièrement : un Libanais paie ses employés quand il en a envie, et il
fait des ponctions sur les salaires de misère de ces pauvres travailleurs qui
n’ont presqu’aucun recours, pour toute faute, grave ou insignifiante. Vous
cassez un verre, il coupe dans votre salaire. Vous tordez une cuillère, vous la
remboursez dans votre salaire. Les Libanais ne respectent pas les lois, ils ne
respectent pas la législation du travail, ils ne respectent pas le smic et ils
paient fréquemment des salaires à peine suffisants pour l’employé pour couvrir
ses frais de transport pour venir au travail pour le mois. En plus ils abusent
régulièrement de leurs employés, violent leurs droits et j’ai entendu des
témoignages sur des Libanais qui crachent sur leurs employés noirs. Faites une
recherche Google rapide sur Internet et lisez les témoignages encore plus choquants
des Ivoiriennes et autres Africaines qui ont commis l’imprudence de suivre leur
patron libanais au Liban. Ça va davantage vous révolter. Pire, tous ces emplois
qu’ils offrent ne sont dans la majorité des cas rien d’autre que de l’esclavage
moderne.
Et au fur et à mesure que l’Afrique va se
développer, que les pays africains vont se débarrasser progressivement de leurs
dictateurs et présidents à vie, et qu’une vraie société civile forte et
autonome commencera se mettre en place et à avoir de l’influence dans la vie
des nations africaines, les Libanais n’auront plus leur place en Afrique. Les
populations n’en voudront plus, du moins en l’état actuel des choses. Ils
seront obligés de changer, sinon ils seront subtilement poussés dehors. Il y a
de plus en plus d’Africains qui vont étudier à l’étranger et après retournent
chez eux. Et c’est eux les leaders de demain. Ils ont vu comment les choses se
passent ailleurs et comment on développe une nation. Ils n’accepteront pas les
écarts de conduite, les fraudes et magouilles à grande échelle, les bêtises et
manquements graves des Libanais que les gouvernements africains actuels
acceptent. Ça c’est clair. Si les Libanais ne sont plus là, les Ivoiriens eux-mêmes
les remplaceront dans tous leurs domaines d’activités comme c’est le cas dans
d’autres pays africains où il n’y a pas ou plus de Libanais, et les nationaux
tiennent tout en main. Enfin de compte, on tire quoi de bon ou d’indispensable
de la présence libanaise ? Très peu sinon rien. Et ce moment viendra dans tous
les cas où les Ivoiriens seront fatigués de tenir des bars et maquis pendant
que les Libanais tiennent toutes les grosses industries juteuses avec la
complicité active de leur gouvernement. Sinon, peut-être même que ce moment est
déjà arrivé et après Ouattara, les Ivoiriens n’en veulent plus d’un
gouvernement au service des communautés et puissances étrangères.
Aucun
noir ne peut même rêver de faire au Liban ce qu’un Libanais fait en Afrique
Je veux dire à l’escroc de Venance que si on avait
en Afrique des gouvernements véritablement au service des populations comme
ailleurs, et si en Côte d’Ivoire particulièrement on avait accordé les mêmes
avantages et privilèges aux Ivoiriens qu’on a accordés aux Libanais … y compris
l’accès facile au crédit bancaire pour monter des entreprises, des PME et PMI …
personne, absolument personne n’irait travailler pour ses amis. La vraie
tragédie des noirs, c’est qu’ils sont malmenés, maltraités et discriminés non
seulement quand ils vont vivre, étudier ou travailler en dehors de l’Afrique,
mais ils subissent la même discrimination et les mêmes mauvais traitements chez
eux. C’est d’ailleurs parce qu’ils sont malmenés chez eux-mêmes que les autres
aussi ont le courage de les malmener à l’étranger. Si vous appelez votre fils «
Chimpanzé », vos voisins aussi l’appelleront « Chimpanzé ». Si vous l’appelez «
bébé », tout le monde l’appellera « bébé ». On ne traitera pas votre
progéniture mieux que vous ne la traitiez vous-même ; le monde suivra votre
exemple. Et tant qu’il y aura des perdus moraux et plumes kamikazes comme
Venance Konan pour défendre des choses et causes indéfendables … pire encore
faire leur apologie … les noirs seront toujours derrière. Ils seront toujours
des citoyens de seconde classe et ils seront traînés dans la boue par des
incultes et moins instruits qu’eux alors qu’ils méritent mieux dans ce 21eme
siècle des révolutions technologiques incroyables qui offrent tant de chances
et opportunités à tous. Mais comment profiter si on est toujours vu comme des
sous-humains à cause des plumes sorcières comme Venance ?
Elie Hallassou On ne sait si c'est le plus libanais des Ivoiriens ou le plus ivoiriens des Libanais |
Les leaders africains maltraitent souvent leurs
propres citoyens et traitent mieux certains étrangers parce qu’il n’y a qu’une
chose et une seule qui compte pour eux une fois qu’ils sont au pouvoir :
comment y rester. Alors on tisse toutes sortes de liens occultes et mafieux. On
pactise avec le diable si nécessaire. La France a joué un rôle déterminant dans
la présence et la position de privilège des Libanais en Côte d’Ivoire. Et
l’armée française étant le garant du pouvoir d’Houphouët, il n’a fait
qu’obtempérer face aux injonctions de la France et les réseaux mafieux
franco-libanais. Ce qui est le plus triste et dramatique dans cette affaire,
c’est qu’aucun noir ne peut même rêver de faire au Liban ce qu’un Libanais fait
en Afrique – il sera immolé comme un ovin et son corps servi à manger aux
chiens. On a beau accuser les occidentaux de racisme, on jouit de plus de
libertés chez eux – des libertés qui seraient impensables voire même
inconcevables chez d’autres tels les Libanais. S’il y avait des Ivoiriens qui
accordaient encore un peu de crédit et d’importance à Venance Konan, je crois
qu’avec son article glorifiant les Libanais, tous ont compris que c’est un
homme troublé, perdu, qui vadrouille et erre dans le désert à la recherche de
son âme. Je lui conseillerais d’aller voir du côté du Liban. Peut-être que
là-bas il se retrouvera et les choses redeviendront claires dans son esprit.
Venance Konan souffre de troubles psychiques graves. Il paie pour ses péchés car
personne ne peut écrire pendant dix ans pour soutenir des rebelles
sanguinaires, avaliser et justifier des crimes odieux de sang contre des
innocents, seulement pour avoir pour toute récompense à la fin la direction
d’un journal antique, mourant et agonisant. Venance Konan en souffre et écrit
maintenant n’importe quoi. Il risque bientôt de nous sortir un autre papier
pour apporter son soutien à Ébola et Boko Haram.
Maitre Namory Fatogoma
Dosso
Titre original : « Ma réponse à l’apologie des Libanais de Côte d’Ivoire par Venance Konan, le journaliste-mercenaire qui vend sa plume au plus offrant. »
Titre original : « Ma réponse à l’apologie des Libanais de Côte d’Ivoire par Venance Konan, le journaliste-mercenaire qui vend sa plume au plus offrant. »
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l'unisson avec notre ligne éditoriale, pourvu qu'ils soient en rapport avec
l'actualité ou l'histoire de la Côte d'Ivoire et des Ivoiriens, ou que, par
leur contenu informatif, ils soient de nature à faciliter la compréhension des
causes, des mécanismes et des enjeux de la « crise ivoirienne ».
Source : La
Dépêche d'Abidjan 3 Décembre 2014
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