La Coordination du FPI en
exil au Ghana
signant le livre d'Or de
condoléances
à l'occasion de la mort du
Président John Atta Mills.
(Assis : Le Dr Assoa Adou)
|
Grande fut ma surprise lorsque votre
publication du 23 septembre 2014 barrait à sa Une : « Depuis le Ghana et malgré les appels au retour, les exilés pro-Gbagbo
préparent un coup ».
Le contenu de l’article faisait état
d’un échange lors d’une rencontre entre le secrétaire général du NDC et
certains exilés dont moi-même au Ghana lors des funérailles de la mère du
Secrétaire Général du NDC dans son village natal.
D’abord, je tiens à souligner que la délégation que je conduisais à ces
funérailles avait fait un voyage aller et retour le même jour. Nous sommes
arrivés sur le lieu de la cérémonie le samedi 6 septembre 2014 à 10H. La mobilisation
massive du peuple ghanéen lors des obsèques ne pouvait permettre d’avoir un
aparté avec le secrétaire général du NDC.
C’est donc uniquement sur les lieux de
la cérémonie que nous avons rencontré et salué le secrétaire général et sa
famille. De surcroît nous avons quitté à 12 h avant la fin de la cérémonie pour
retourner à Accra. Dans ces circonstances il est surprenant de me prêter ainsi
qu’aux camarades qui étaient avec moi un quelconque entretien avec le
secrétaire général du NDC. Votre journaliste et ses informateurs souffrent
certainement d'hallucinations visuelles et auditives.
Le FPI reste fidèle à la forme de lutte
politique prônée par le Président Laurent Gbagbo : La lutte pacifique pour
faire de la Côte d’Ivoire un état démocratique et souverain.
Les militants du FPI n'ont toujours eu qu'un seul mot d’ordre : asseyons-nous et discutons.
Au demeurant, la publication de cet article à ce moment précis ne peut être neutre par rapport à la crise interne que le FPI a traversée et qu’il a su résoudre brillamment par les ressorts du débat démocratique interne.
Les militants du FPI n'ont toujours eu qu'un seul mot d’ordre : asseyons-nous et discutons.
Au demeurant, la publication de cet article à ce moment précis ne peut être neutre par rapport à la crise interne que le FPI a traversée et qu’il a su résoudre brillamment par les ressorts du débat démocratique interne.
Lorsqu’on se rappelle de toutes les
tentatives d’exacerbation de cette crise par votre journal pour voir le FPI se
briser en petits morceaux, nous pouvons aisément comprendre que votre journal cherche
les voies et moyens pour prolonger médiatiquement la crise en semant le trouble
et le doute sur la fidélité de certains camarades du FPI à leur attachement à
la ligne de lutte pacifique.
Votre désir de fabriquer artificiellement une fissure entre les militants du FPI en prévision du congrès programmé pour le mois de décembre de cette année, connaîtra le même sort que la tentative désespérée de vouloir briser le FPI lors de la crise précédente.
Votre désir de fabriquer artificiellement une fissure entre les militants du FPI en prévision du congrès programmé pour le mois de décembre de cette année, connaîtra le même sort que la tentative désespérée de vouloir briser le FPI lors de la crise précédente.
Habitué au débat démocratique, vous
constaterez vous-même la vigueur avec laquelle le FPI sortira vainqueur de
toutes les tentatives de déstabilisation.
Je souhaite longue vie à votre journal
pour le bonheur de la démocratie dont les pionniers constituent aujourd’hui les
cibles de la violence du pouvoir d’Etat dont vous êtes le porte-voix.
Dr Assoa Adou, Président de la
Coordination du FPI en exil.
Source : IVOIREBUSINESS
29 Septembre 2014.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire